Hors ligne
Je recherche Alexander place de Clichy
mais où sont les gendarmes au marché de Saint Ouen ?
et je rêve en métro d'Oslo à Varsovie
en m'égarant autour des prés de Saint-Germain.
Quand s'écoule la Seine, je pense aux cabarets
J'arpente les musées mais décrochés de l'île
Quand poussent des tentes perdues le long des quais
je repense à Voltaire et l'âme de cette ville
Je veux refaire le mur une dernière fois
l'éventrer encore dans la joie et le fracas
le spleen en bandoulière, cailloux sur mon chemin
Et les pieds à Paris mais la tête à Berlin
La première fait la belle habillée de lumière
Mais le coeur bat vraiment dans les dessous sexys
de la vieille rebelle à l'esprit plus ouvert
épouses à la rose, scandaleuses, hein Lili ?
Quand brille ta lanterne dans mes nuits parisiennes
et que ton air résonne en écho qui soulage
abandonné à toi, je ferme les persiennes
j'ai encore 15 ans pour toujours à mon âge.
Mon café à Paname garde un goût bien amer
et de mélancolie, ich bin ein Berliner
même en haut de la Butte, je respire ce matin
les pavés de Paris… le souffle de Berlin
mais où sont les gendarmes au marché de Saint Ouen ?
et je rêve en métro d'Oslo à Varsovie
en m'égarant autour des prés de Saint-Germain.
Quand s'écoule la Seine, je pense aux cabarets
J'arpente les musées mais décrochés de l'île
Quand poussent des tentes perdues le long des quais
je repense à Voltaire et l'âme de cette ville
Je veux refaire le mur une dernière fois
l'éventrer encore dans la joie et le fracas
le spleen en bandoulière, cailloux sur mon chemin
Et les pieds à Paris mais la tête à Berlin
La première fait la belle habillée de lumière
Mais le coeur bat vraiment dans les dessous sexys
de la vieille rebelle à l'esprit plus ouvert
épouses à la rose, scandaleuses, hein Lili ?
Quand brille ta lanterne dans mes nuits parisiennes
et que ton air résonne en écho qui soulage
abandonné à toi, je ferme les persiennes
j'ai encore 15 ans pour toujours à mon âge.
Mon café à Paname garde un goût bien amer
et de mélancolie, ich bin ein Berliner
même en haut de la Butte, je respire ce matin
les pavés de Paris… le souffle de Berlin