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- LE KREMLIN BICETRE
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- Un homme
Hors ligne
Sur la dernière ligne droite, de ma vie mouvementée,
Je me pose des questions sur les chemins et routes,
Qui ont guidé mes pas, rapproché, éloigné,
La réponse est la Femme, je n’en ai aucun doute.
La chance a bien, voulu que des rencontres je fasse,
Et qu’elles m’autorisent aux jeux d’intimité,
Explorations subtiles dans des bouges ou palaces
Pour la révélation de doux secrets cachés.
Sur ce sujet l’école ne m’avait rien appris,
Je dois à la pratique, à mon assiduité,
De connaître en détail, et sans jamais salir
Les pages blanches et noires de mes jolis cahiers.
Mes chemins furent sinueux, avec quelques arrêts
De plusieurs années, et parfois plus encore,
Mes compagnonnes de routes, par chance m’ont guidé,
Sur des chemins fleuris, jamais dans le décor
Sans les femmes de ma vie, que serais – je aujourd’hui,
Vagabond et son chien, à la soupe populaire ?
Dans des bras, les derniers, trouverai un abri,
Je serai épargné, des supplices de l’enfer.
Du premier jour de vie, à mon ultime horaire
Les femmes auront été, mes accompagnatrices
Elles me conquirent en louves, me guérirent en bergères,
Au théâtre de ma vie, elles furent les grandes actrices.
Je me pose des questions sur les chemins et routes,
Qui ont guidé mes pas, rapproché, éloigné,
La réponse est la Femme, je n’en ai aucun doute.
La chance a bien, voulu que des rencontres je fasse,
Et qu’elles m’autorisent aux jeux d’intimité,
Explorations subtiles dans des bouges ou palaces
Pour la révélation de doux secrets cachés.
Sur ce sujet l’école ne m’avait rien appris,
Je dois à la pratique, à mon assiduité,
De connaître en détail, et sans jamais salir
Les pages blanches et noires de mes jolis cahiers.
Mes chemins furent sinueux, avec quelques arrêts
De plusieurs années, et parfois plus encore,
Mes compagnonnes de routes, par chance m’ont guidé,
Sur des chemins fleuris, jamais dans le décor
Sans les femmes de ma vie, que serais – je aujourd’hui,
Vagabond et son chien, à la soupe populaire ?
Dans des bras, les derniers, trouverai un abri,
Je serai épargné, des supplices de l’enfer.
Du premier jour de vie, à mon ultime horaire
Les femmes auront été, mes accompagnatrices
Elles me conquirent en louves, me guérirent en bergères,
Au théâtre de ma vie, elles furent les grandes actrices.