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Je vous propose un exercice, pour réveiller votre mémoire.
Je vous assure que c’est sans vice, j’ai fait l’essai pouvez me croire ;
Cela consiste à remonter dans le passé de vos amours,
Mettre un visage sur l’être aimé, lors du baiser du premier jour.
J’avais fêté mes quatorze ans c’était l’été parc des Tuileries.
J’portais encore cocon d’enfant, j’sentais à peine monter la vie.
Au même âge la jeune fille, était déjà un papillon,
Avec sa robe couleur vanille, garnie de fleurs rose bonbon.
De ses yeux bleus elle me fixait, sa jolie bouche formait un cœur.
Le grand couillon que moi j’étais, ne savait pas cueillir les fleurs.
Un grand merci à ces orages, que seul l’été peut fomenter,
Qui font frissonner les corsages, et dégourdissent les empruntés.
Sous l’Arc de pierres du Carrousel, avec ses mains elle m’a guidé,
J’ai vite compris qu’elle était belle, quand l’averse s’est déclenchée.
Tout contre moi elle s’est blottie, spontanément j’ai su la suite.
Nos lèvres s’approchèrent, se mêlèrent, rythmé par les notes de pluie.
Mes pieds ne touchaient plus le sol, cet ange m’a emporté au ciel.
J’ai comme l’oiseau plané en vol, après déploiement de mes ailes.
Vénus m’a confié ce jour là, un jeu de ses plus belles clés,
De son école de l’amour, premier devoir , premier baiser.
A vous d’ouvrir vos portes closes, vous rappeler des pluies d’été,
Poèmes en vers ou bien en prose, merci de nous faire profiter.
Je vous assure que c’est sans vice, j’ai fait l’essai pouvez me croire ;
Cela consiste à remonter dans le passé de vos amours,
Mettre un visage sur l’être aimé, lors du baiser du premier jour.
J’avais fêté mes quatorze ans c’était l’été parc des Tuileries.
J’portais encore cocon d’enfant, j’sentais à peine monter la vie.
Au même âge la jeune fille, était déjà un papillon,
Avec sa robe couleur vanille, garnie de fleurs rose bonbon.
De ses yeux bleus elle me fixait, sa jolie bouche formait un cœur.
Le grand couillon que moi j’étais, ne savait pas cueillir les fleurs.
Un grand merci à ces orages, que seul l’été peut fomenter,
Qui font frissonner les corsages, et dégourdissent les empruntés.
Sous l’Arc de pierres du Carrousel, avec ses mains elle m’a guidé,
J’ai vite compris qu’elle était belle, quand l’averse s’est déclenchée.
Tout contre moi elle s’est blottie, spontanément j’ai su la suite.
Nos lèvres s’approchèrent, se mêlèrent, rythmé par les notes de pluie.
Mes pieds ne touchaient plus le sol, cet ange m’a emporté au ciel.
J’ai comme l’oiseau plané en vol, après déploiement de mes ailes.
Vénus m’a confié ce jour là, un jeu de ses plus belles clés,
De son école de l’amour, premier devoir , premier baiser.
A vous d’ouvrir vos portes closes, vous rappeler des pluies d’été,
Poèmes en vers ou bien en prose, merci de nous faire profiter.