Poème A Que Misererum

Très joliment poétisé !

L'albatros en Bohésie qui survole le lac de douleurs à s'y noyer....

En effet celui ci est plus "complet" et plus abouti....
Voir la pièce jointe 17566

Par un vent mauvais
Et un sort déplorable
Tout droit je m'en vais
Vers un bonheur misérable.

Seigneur au nom blessé
Quelle masque encore porter ?
O Christ délaissé !
Quelle illusion supporter ?

Nous pensons, reîtres, tenir nos plumes
Or le livre c'est Dieu !
Nous portons chaînes joie et amertume
Et mes yeux cernés... Adieu !

Hamlet avait du génie
La question sans dérision
Que ma raison renie
Le cœur absent de chansons

Oui j'ai lu ivre de frissons
Cet hiver l'albatros se meurt
Oui j'ai aimé l'ironique chanson
Dans cette noirceur qui demeure

Sans le sou, sans le franc
Pourtant hélas bien souffrant
Bohème en Bohésie
Quelle lumière en ce pays.

Cueille le jour et recueille
Toi ! Fais vivre ton recueil
Il demeurera à ton cercueil ( hiatus )
Quel songe étrange sur cette feuille...

Chers amis, chers frères, chers lecteurs
Ce qui manque à ce cœur qui s'écoeure
Ce sont le chant des anges en choeur
Voilà, je me noie dans un lac de douleurs.

Oui, j'avoue, j'ai préféré l'enfer
Par peur de la vie, par dépit
Or à présent je saisis le vers
Et les fleurs... Celles du sentier de la vie!

J. Lou
Le 21 Octobre 2019

Merci pour ce partage j. Lou
Gaby

Par un vent mauvais
Et un sort déplorable
Tout droit je m'en vais
Vers un bonheur misérable.

Seigneur au nom blessé
Quelle masque encore porter ?
O Christ délaissé !
Quelle illusion supporter ?

Nous pensons, reîtres, tenir nos plumes
Or le livre c'est Dieu !
Nous portons chaînes joie et amertume
Et mes yeux cernés... Adieu !

Hamlet avait du génie
La question sans dérision
Que ma raison renie
Le cœur absent de chansons

Oui j'ai lu ivre de frissons
Cet hiver l'albatros se meurt
Oui j'ai aimé l'ironique chanson
Dans cette noirceur qui demeure

Sans le sou, sans le franc
Pourtant hélas bien souffrant
Bohème en Bohésie
Quelle lumière en ce pays.

Cueille le jour et recueille
Toi ! Fais vivre ton recueil
Il demeurera à ton cercueil ( hiatus )
Quel songe étrange sur cette feuille...

Chers amis, chers frères, chers lecteurs
Ce qui manque à ce cœur qui s'écoeure
Ce sont le chant des anges en choeur
Voilà, je me noie dans un lac de douleurs.

Oui, j'avoue, j'ai préféré l'enfer
Par peur de la vie, par dépit
Or à présent je saisis le vers
Et les fleurs... Celles du sentier de la vie!

J. Lou
Le 21 Octobre 2019

Très belle lecture offerte, je vous encourage à écrire encore.


Moïse

J'ai pris plaisir à te lire J.Lou tu écris très bien Moïse à vu juste….

Bonne soirée
Pauline