Poème A toi papa…

Tellement longtemps que tu as quitté ma vie,
Et pourtant j’ai l’impression que c’était hier.
Si brusquement, si violemment tu es partit,
Laissant derrière toi des enfants sans leur père.

Les saisons défilent, les années passent, sans toi,
Et, alors que le chagrin meurtrit encore mon cœur,
Presque dix ans se sont écoulés, sans que je ne te vois,
Marquée à vie par ta mort, mon cœur n’est que douleur,

Lorsque à toi, je pense, inondant mes yeux de tristesse,
Papa tu es parti trop tôt, m’abandonnant jeune adulte,
Me laissant avec un tas de questions, dans la faiblesse,
Sans aucune réponse, bravant la vie et son tumulte.

Tout ces évènements marquants de mon existence,
Auxquels tu n’as pu assister, à nos seuls souvenirs,
Je peux me raccrocher, à cette douce souffrance,
Sans père j’essaye d’avancer, de m’accomplir.

Papa, malgré le mal que ta mort a provoqué,
Dans mon cœur et dans mes pensées tu resteras,
Et cela jusqu’à ce que mon heure soit arrivée,
Je t’ai aimé et encore aujourd’hui c’est le cas.

Souricette
Le 24/03/2021
Tous droits réservés

Tellement longtemps que tu as quitté ma vie,
Et pourtant j’ai l’impression que c’était hier.
Si brusquement, si violemment tu es partit,
Laissant derrière toi des enfants sans leur père.

Les saisons défilent, les années passent, sans toi,
Et, alors que le chagrin meurtrit encore mon cœur,
Presque dix ans se sont écoulés, sans que je ne te vois,
Marquée à vie par ta mort, mon cœur n’est que douleur,

Lorsque à toi, je pense, inondant mes yeux de tristesse,
Papa tu es parti trop tôt, m’abandonnant jeune adulte,
Me laissant avec un tas de questions, dans la faiblesse,
Sans aucune réponse, bravant la vie et son tumulte.

Tout ces évènements marquants de mon existence,
Auxquels tu n’as pu assister, à nos seuls souvenirs,
Je peux me raccrocher, à cette douce souffrance,
Sans père j’essaye d’avancer, de m’accomplir.

Papa, malgré le mal que ta mort a provoqué,
Dans mon cœur et dans mes pensées tu resteras,
Et cela jusqu’à ce que mon heure soit arrivée,
Je t’ai aimé et encore aujourd’hui c’est le cas.

Souricette
Le 24/03/2021
Tous droits réservés

Un cri du cœur une douleur
Que rien ne peut appaiser
Un manque à sa vie
Qui perdure auquel on ne peut rien changer...

Un texte qui m'a touché ému aux larmes...

Il en faudra du temps pour accepter cette absence mais même si les années passent
On oublie pas.

Je vous souhaite de trouver très bientôt l'apaisement..

Amitiés

C'est un poème qui me touche beaucoup car j'ai les mêmes sentiments envers mon père qui s'en est allé récemment.
Merci a toi, amitiés
Perceval

Un très bel hommage à ton cher papa, mais il restera toujours dans ton cœur, vraiment touchant et émouvant ton poème ma mignonne

Je sais mon amie, que c'est un mois particulier pour toi le jour où coïncide l'anniversaire de ma mère avec le jour du départ "précipité" de ton père...

C'est un texte poignant, je ne parlerai pas de la forme ce serait absurde tellement ton écrit est un cri de douleurs, et tu l'as fait, c'est énorme déjà !!! Je te dis bravo, et je t'en félicite Cassie !!!

Ton ami Julien

Perdre un Parent est un passage dont on ne peux se relever affectivement, hélas, je connais cette situation où mon Papa est décédé d'un accident à 59 ans !

tout mon soutiens!
Amitiés, Jean-Yves

En effet c'est un mois difficile pour nous deux. Merci pour ton passage ça me touche beaucoup.
Oui j'ai ressenti le besoin d'écrire ce poème, surtout que samedi ça fera 10 ans... c'est passé tellement vite et pourtant il me manque toujours et la douleur, même si elle s'est apaisée, est toujours présente.

Ton amie Cassie.

En ce qui me concerne, ce n'est pas un mois difficile pour moi, car je m'y suis fait, je l'ai accepté, et j'accepte aussi de pleurer de temps en temps, c'est humain, il ne faut en avoir honte, et puis la douleur ou la souffrance font partie de la vie, faut s'y faire...

Bien sur que moi même j'en souffre encore mais pas tant que par le passé, car maman aurait voulu que son grand s'en sorte, et j'ai tout fait pour !!!
Alors mes proches me disent bravo ! et c'est pour eux aussi qu'il nous faut nous dépasser, on vit avec ceux qui restent, et par exemple je suis plus attaché à aider mon père, à soutenir ses choix et l'aider au quotidien...
Le positif dans ce malheur c'est que j'ai découvert un père très sensible, et très amoureux de ma mère, et ainsi je me suis rapproché de lui, il croit toujours que c'est moi qui en souffre le plus... alors je lui montre mes efforts, mes progrès, je le fais rire, je suis à son écoute, et rien que cela ma mère serait tellement fière de moi de là haut où elle me regarde !
Je suis très fier de ce que je suis, et je le dois en partie à mes parents !

Le côté poète par contre, je ne le dois qu'à moi même et à mes efforts, à la sueur de ma plume loool mais aussi aux grands écrivains que j'ai lus et qui m'ont fait aimer la poésie, et ce forum aussi dans sa diversité de plumes, et d'amitiés en tout genres, où dans la convivialité on échange sans juger tout simplement !

Ton écrit poignant d'écorchée vive m'a juste rappelé que la vie est éphémère et c'est ainsi qu'il faut en profiter le plus !!!

Moi, d'avoir perdu mon père ça a fait que depuis ce jour, je dis beaucoup plus "je t'aime" à ceux qui compte pour moi car je regrette de ne pas avoir pu lui dire. Beaucoup de gens sont trop pudiques pour se dire "je t'aime" et c'est dommage. Tant que les gens sont vivants il faut créer des souvenirs et se dire et se montrer qu'on s'aime. Profiter de la vie avec nos moyens et ne pas trop se retourner vers notre passé car de toute manière on ne peut plus le changer.

Merci encore à toi mon ami.

Bonjour Cassandra !
En relecture parce que cela me fait du bien de partager de tels moments !
Amities, bises
Marc