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J'ai entendu ce matin à la radio un témoignage bouleversant d'une ancienne déportée.
Elle raconte un jour caniculaire où les nazis obligent le petit orchestre de déportés du camp à jouer le concerto pour violon de Brahms.
Un à un, les solistes s'écroulent et meurent.
Il ne reste plus que le violon solo qui refuse de mourir pour cette musique !
Autour d'elle, l'assistance (de déportés ) en plein soleil se raréfie et elle voit tomber près d'elle les corps déshydratés de ses compagnons.
Longtemps, dit elle, elle refusera de ré entendre cette musique, puis, un jour, très âgée, elle décide que les nazis ne doivent pas continuer leur emprise sur son esprit.
Elle décide d'écouter cette musique fougueuse de la vie et non de la mort !....
Écoutez là sous les doigts du plus virtuose des virtuoses, Maxime Vengerov.
Elle raconte un jour caniculaire où les nazis obligent le petit orchestre de déportés du camp à jouer le concerto pour violon de Brahms.
Un à un, les solistes s'écroulent et meurent.
Il ne reste plus que le violon solo qui refuse de mourir pour cette musique !
Autour d'elle, l'assistance (de déportés ) en plein soleil se raréfie et elle voit tomber près d'elle les corps déshydratés de ses compagnons.
Longtemps, dit elle, elle refusera de ré entendre cette musique, puis, un jour, très âgée, elle décide que les nazis ne doivent pas continuer leur emprise sur son esprit.
Elle décide d'écouter cette musique fougueuse de la vie et non de la mort !....
Écoutez là sous les doigts du plus virtuose des virtuoses, Maxime Vengerov.