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Poème Ça n’a pas fait un pli !

Peniculo

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#1
Ça n’a pas fait un pli !


Sa femme le trompait c’était une évidence
Et dès qu’il s’absentait elle prêtait son corps
Elle avait un amant avide de records
Qui a bien l’honorer avait de la constance

Un jour il rentra tôt sans doute manque de chance
La dame et son amant pratiquaient un vieux sport
Et allaient mettre un terme au tout dernier effort
Le mari qui n’avait aucune bienveillance

Chercha dans un tiroir un grand couteau pointu
Il transforma l’amant en sanglants résidus
Et afin que sa femme n’ait plus cette habitude

D’avoir de son grands lit toujours les draps froissés
En dix aller-retour il perfora Gertrude
Et vingt fois en son sein le fer a repassé.




 

Moïse Wolff

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#3
La chute ne laisse pas un pli en effet !
Triste finalité pour un mari froissé !
 
Dernière édition:

chessmec

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#4
Vous décrivez là un exemple de violence conjugale de fort belle manière. Bravo pour la beauté du récit !
 
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#5
Ça n’a pas fait un pli !


Sa femme le trompait c’était une évidence
Et dès qu’il s’absentait elle prêtait son corps
Elle avait un amant avide de records
Qui a bien l’honorer avait de la constance


Un jour il rentra tôt sans doute manque de chance
La dame et son amant pratiquaient un vieux sport
Et allaient mettre un terme au tout dernier effort
Le mari qui n’avait aucune bienveillance


Chercha dans un tiroir un grand couteau pointu
Il transforma l’amant en sanglants résidus
Et afin que sa femme n’ait plus cette habitude


D’avoir de son grands lit toujours les draps froissés
En dix aller-retour il perfora Gertrude
Et vingt fois en son sein le fer a repassé.





Belle écriture en effet
Bonne journée
 

jeanyves53

Grand poète
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#6
Ça n’a pas fait un pli !


Sa femme le trompait c’était une évidence
Et dès qu’il s’absentait elle prêtait son corps
Elle avait un amant avide de records
Qui a bien l’honorer avait de la constance


Un jour il rentra tôt sans doute manque de chance
La dame et son amant pratiquaient un vieux sport
Et allaient mettre un terme au tout dernier effort
Le mari qui n’avait aucune bienveillance


Chercha dans un tiroir un grand couteau pointu
Il transforma l’amant en sanglants résidus
Et afin que sa femme n’ait plus cette habitude


D’avoir de son grands lit toujours les draps froissés
En dix aller-retour il perfora Gertrude
Et vingt fois en son sein le fer a repassé.





Ce que la jalousie peut engendrer est difficile à maitriser!
Amitiés, Jean-Yves
 
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