Hors ligne
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Je suis comme un chasseur de papillons se trouvant dans un endroit où il ne se trouve pas beaucoup de lépidoptères rares.
Je vais rester dans l'éternité
Dans cette immensité
Dans ce système dématérialisé
Plein de zéros et d’uns accolés
De notre union, de notre fusion
Nos corps entremêlés ne peuvent se séparer
Comme d’une île et de son océan
Comme de la page et de ses marées
Contourner les interdits
Contourner les écrits
Libre de nos pensées
Libre de nos gestes insensés
D’où vient ce besoin de t’écrire ?
Ce besoin de me découvrir ?
Faut-il écrire pour se couvrir ?
Faut-il écrire pour grandir ?
J’écoute les vents d’antan
Comme les soleils levants
J’écoute tes chants d’avant
Comme les soleils couchants
Même si je sais que tu n’es que muse
Et qu’entre nous il n’y a point de ruse
J’aime parcourir ta virtualité
L’immiscibilité avec notre réalité
Toi mon inconnue digitalisée
Fée d’un flux continu et maitrisé
De tes verbes je m’imprègne
Je suis dans un rêve dans ton règne
Mot après mot au son de l’été
Je découvre ta vraie beauté
Comme un fruit mûr perché
Mes mains iront lentement te caresser
Aux doux sons des touches de mon clavier
Images sensuelles de mes pensées
Pétale après pétale ton corps m’apparait
Toi petit papillon vient hanter ma vérité
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(¸. •´ (¸. •´ (¸. •*´¯`*•> CHARLY
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Je suis comme un chasseur de papillons se trouvant dans un endroit où il ne se trouve pas beaucoup de lépidoptères rares.
Je vais rester dans l'éternité
Dans cette immensité
Dans ce système dématérialisé
Plein de zéros et d’uns accolés
De notre union, de notre fusion
Nos corps entremêlés ne peuvent se séparer
Comme d’une île et de son océan
Comme de la page et de ses marées
Contourner les interdits
Contourner les écrits
Libre de nos pensées
Libre de nos gestes insensés
D’où vient ce besoin de t’écrire ?
Ce besoin de me découvrir ?
Faut-il écrire pour se couvrir ?
Faut-il écrire pour grandir ?
J’écoute les vents d’antan
Comme les soleils levants
J’écoute tes chants d’avant
Comme les soleils couchants
Même si je sais que tu n’es que muse
Et qu’entre nous il n’y a point de ruse
J’aime parcourir ta virtualité
L’immiscibilité avec notre réalité
Toi mon inconnue digitalisée
Fée d’un flux continu et maitrisé
De tes verbes je m’imprègne
Je suis dans un rêve dans ton règne
Mot après mot au son de l’été
Je découvre ta vraie beauté
Comme un fruit mûr perché
Mes mains iront lentement te caresser
Aux doux sons des touches de mon clavier
Images sensuelles de mes pensées
Pétale après pétale ton corps m’apparait
Toi petit papillon vient hanter ma vérité
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