Poème COMME UN ORAGE FROID QUI S’ABAT SUR MOI

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Comme un orage froid qui s’abat sur moi
Une pluie de stupeur qui me laisse en émoi
Cette haine, pourquoi avoir fait ça
D’où qu’elle vienne, ne vaut pas cet acte-là

Pantins et crédules ne soyez pas nuls
Dieu ou autres, n’ont pas besoin de consuls
Tournent la terre et toutes les pendules
L’amour aux autres, ne rend pas ridicule

Ne livrer à personne une autre âme
Une autre âme vide, que la sienne
Prisonnières d’un guide en peine
Qui ne donne de liberté aux femmes

Écrire et ne penser que par soi-même
Nul n’a besoin d’un éternel en modèle
Ni dieux, ni sorcières de Salem
Juste, une vie de simple mortel

Quoi de plus beau qu’un hymne au piano
La douceur des octaves, de bas en haut
Une voix de cristal qui flotte en étendard
Aux couleurs d’un tableau, une œuvre d’art

Et arrêter le temps, rien qu’un instant
Sentir sur soi la chaleur chaude du vent
Se dire, que nous sommes tous bien des vivants
Tous le même sang et tous bien différents

De différents continents et pour autant
Tous nés sur la terre et frère de sang
Point de paradis pour ces dirigeants
Qui veulent tous, que l’on rentre dans le rang


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(¸. •´ (¸. •´ (¸. •*´¯`*•> CHARLY

J'aime beaucoup ce passage :

Et arrêter le temps, rien qu’un instant
Sentir sur soi la chaleur chaude du vent
Se dire, que nous sommes tous bien des vivants
Tous le même sang et tous bien différents


MERCI Charly pour ce partage

Votre plume est toujours aussi plaisante à lire, de mes remerciements je vous en retourne la mienne.

personne

La vie, cette aventure qui nous est donnée remplie d'émotions tel un instrument avec lequel nous composons, c'est aussi une épreuve voir pour certains un tourment. Soyons heureux le plus possible. Merci Charly 🙂

Merci beaucoup, Moïse Wolff