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Poème Dans la vieille carrière devenue cimetière

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#1

Le vieux camion fatigué trace des ornières
Dans le chemin menant à l’ancienne carrière.
Mal assis sur des bancs étroits à l’arrière
Des hommes désespérés font une prière.

Ils sont surveillés par quelques militaires
Qui bientôt, à jamais, règleront leur affaire.
Ils ont refusé d’obéir et de se taire
Le prix à payer se compte en cônes de fer.

Ils voulaient vivre debout, et en étaient fiers
Ils refusaient d’emprunter le chemin de misère
Celui où trainent serfs, esclaves et pauvres hères.
Ils savaient que très tôt viendrait celui du cimetière.

Il existera encore longtemps des émules d’Hitler
Pour allumer un peu partout sur la terre
Des brasiers sinistres, dignes de l’enfer
Aux fumées empêchant l’horizon d’être clair.

Ces hommes courageux dressaient une bannière.
Ils étaient les gardiens d’une invisible frontière
Celle séparant le Sujet du Citoyen, de la lumière.
Pour cela ils finiront cachés sous quelques pierres.

Montfort, le 13/11/20
 

patgui

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LE KREMLIN BICETRE
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#2

Le vieux camion fatigué trace des ornières
Dans le chemin menant à l’ancienne carrière.
Mal assis sur des bancs étroits à l’arrière
Des hommes désespérés font une prière.


Ils sont surveillés par quelques militaires
Qui bientôt, à jamais, règleront leur affaire.
Ils ont refusé d’obéir et de se taire
Le prix à payer se compte en cônes de fer.


Ils voulaient vivre debout, et en étaient fiers
Ils refusaient d’emprunter le chemin de misère
Celui où trainent serfs, esclaves et pauvres hères.
Ils savaient que très tôt viendrait celui du cimetière.


Il existera encore longtemps des émules d’Hitler
Pour allumer un peu partout sur la terre
Des brasiers sinistres, dignes de l’enfer
Aux fumées empêchant l’horizon d’être clair.


Ces hommes courageux dressaient une bannière.
Ils étaient les gardiens d’une invisible frontière
Celle séparant le Sujet du Citoyen, de la lumière.
Pour cela ils finiront cachés sous quelques pierres.

Montfort, le 13/11/20
magnifique hommage merci pour ces hommes de courage
 
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#4

Le vieux camion fatigué trace des ornières
Dans le chemin menant à l’ancienne carrière.
Mal assis sur des bancs étroits à l’arrière
Des hommes désespérés font une prière.


Ils sont surveillés par quelques militaires
Qui bientôt, à jamais, règleront leur affaire.
Ils ont refusé d’obéir et de se taire
Le prix à payer se compte en cônes de fer.


Ils voulaient vivre debout, et en étaient fiers
Ils refusaient d’emprunter le chemin de misère
Celui où trainent serfs, esclaves et pauvres hères.
Ils savaient que très tôt viendrait celui du cimetière.


Il existera encore longtemps des émules d’Hitler
Pour allumer un peu partout sur la terre
Des brasiers sinistres, dignes de l’enfer
Aux fumées empêchant l’horizon d’être clair.


Ces hommes courageux dressaient une bannière.
Ils étaient les gardiens d’une invisible frontière
Celle séparant le Sujet du Citoyen, de la lumière.
Pour cela ils finiront cachés sous quelques pierres.

Montfort, le 13/11/20
Je me range au commentaire de Clem P
Bonne soirée
Gaby
 
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#5

Le vieux camion fatigué trace des ornières
Dans le chemin menant à l’ancienne carrière.
Mal assis sur des bancs étroits à l’arrière
Des hommes désespérés font une prière.


Ils sont surveillés par quelques militaires
Qui bientôt, à jamais, règleront leur affaire.
Ils ont refusé d’obéir et de se taire
Le prix à payer se compte en cônes de fer.


Ils voulaient vivre debout, et en étaient fiers
Ils refusaient d’emprunter le chemin de misère
Celui où trainent serfs, esclaves et pauvres hères.
Ils savaient que très tôt viendrait celui du cimetière.


Il existera encore longtemps des émules d’Hitler
Pour allumer un peu partout sur la terre
Des brasiers sinistres, dignes de l’enfer
Aux fumées empêchant l’horizon d’être clair.


Ces hommes courageux dressaient une bannière.
Ils étaient les gardiens d’une invisible frontière
Celle séparant le Sujet du Citoyen, de la lumière.
Pour cela ils finiront cachés sous quelques pierres.

Montfort, le 13/11/20
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Bonne soirée
Gaby
 
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#6

Le vieux camion fatigué trace des ornières
Dans le chemin menant à l’ancienne carrière.
Mal assis sur des bancs étroits à l’arrière
Des hommes désespérés font une prière.


Ils sont surveillés par quelques militaires
Qui bientôt, à jamais, règleront leur affaire.
Ils ont refusé d’obéir et de se taire
Le prix à payer se compte en cônes de fer.


Ils voulaient vivre debout, et en étaient fiers
Ils refusaient d’emprunter le chemin de misère
Celui où trainent serfs, esclaves et pauvres hères.
Ils savaient que très tôt viendrait celui du cimetière.


Il existera encore longtemps des émules d’Hitler
Pour allumer un peu partout sur la terre
Des brasiers sinistres, dignes de l’enfer
Aux fumées empêchant l’horizon d’être clair.


Ces hommes courageux dressaient une bannière.
Ils étaient les gardiens d’une invisible frontière
Celle séparant le Sujet du Citoyen, de la lumière.
Pour cela ils finiront cachés sous quelques pierres.

Montfort, le 13/11/20
J'aime beaucoup ce texte qui décrit bien la souffrance qu'engendrent les guerres...Merci de ce partage JC Dominé
 
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#7
L'homme trouvera toujours une raison pour haïr son prochain hélas!
J'ai été touchée par ce texte...
Merci de l'avoir partagé :)
Bonjour,
j'ai pensé en écrivant ce texte à une chanson de Manau : "l'Histoire est un long passé" et à un roman de Michel Quint : "Effroyables jardins" adapté au cinéma par Jean Becker. il ne manque dans ce texte que le soldat clown du roman.
vous avez raison , comme Manau : l'avenir est un long passé
A bientôt

L'homme trouvera toujours une raison pour haïr son prochain hélas!
 
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#9
Un très bel hommage, c'est un écrit bien ficelé :)
Bonjour
merci beaucoup
A bientôt
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Bonne soirée
Gaby
Bonjour
merci pour cette visite
A bientôt
Bonjour,
Qui sont ces Hommes?
Ils appartiennent à l'Histoire,au présent,et aussi au futur.
merci pour cette visite
J'aime beaucoup ce texte qui décrit bien la souffrance qu'engendrent les guerres...Merci de ce partage JC Dominé
Bonjour
merci
A bientôt
 
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