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Dans ton antre de sorcière
Rien d'effrayant depuis ton étagère
Ni tes succubes aux regards d'opale, envoyées
Ni votre céciter témoin du sale... renvoyées!
Les ombres les plus noirs ne me sont pas étrangères
Et si tu pouvais arrêter l'hémoragie mon amour...
Arrêtez de fuire en marge
Et en moi de t'aimer toujours
Si Éros n'avait été caché dans tes gobelets tendus
Comme un remède effervescent d'écervelée rendue
Chassant himéros et ses symptômes chimériques
Il pourrait bien être question d'équilibre
Inconnue dans tes grimoires vides
Haute de ta crédule posture
Au féminisme dominant sans rature
Mâté pourtant de tes propres coups dans l'bide
Les bocaux ne contiennent nullement les arts
Ici, tout les saurochtones sont bien mammifères
Et aucun autre versement n'assaissonne les ares
Pas plus un corbeau au passage de la chaire
Je t'aime encore lorsque l'oubli parfume ses miettes
Sur le banc broyé de nos jachères
Rien n'y a fait, même l'enfer établie
J'avais déjà hurlé à en crever les cieux
Bercé la souffrance de chaque horreur
Je savais qu'aucune porte n'enferme mieux
Que celle qui hante nos erreurs
Même si tu pouvais arrêter l'hémoragie mon amour...
Que l'évidence conforte la marche
Je sais que je t'aimerais toujours
Non rien ne m'effraie sur ton étagère
Ni la bile de ton pâle bonheur
Ni tes imcubations aux regards hostères
Où les seuls pensés désormais sonnent mon heure.
Rien d'effrayant depuis ton étagère
Ni tes succubes aux regards d'opale, envoyées
Ni votre céciter témoin du sale... renvoyées!
Les ombres les plus noirs ne me sont pas étrangères
Et si tu pouvais arrêter l'hémoragie mon amour...
Arrêtez de fuire en marge
Et en moi de t'aimer toujours
Si Éros n'avait été caché dans tes gobelets tendus
Comme un remède effervescent d'écervelée rendue
Chassant himéros et ses symptômes chimériques
Il pourrait bien être question d'équilibre
Inconnue dans tes grimoires vides
Haute de ta crédule posture
Au féminisme dominant sans rature
Mâté pourtant de tes propres coups dans l'bide
Les bocaux ne contiennent nullement les arts
Ici, tout les saurochtones sont bien mammifères
Et aucun autre versement n'assaissonne les ares
Pas plus un corbeau au passage de la chaire
Je t'aime encore lorsque l'oubli parfume ses miettes
Sur le banc broyé de nos jachères
Rien n'y a fait, même l'enfer établie
J'avais déjà hurlé à en crever les cieux
Bercé la souffrance de chaque horreur
Je savais qu'aucune porte n'enferme mieux
Que celle qui hante nos erreurs
Même si tu pouvais arrêter l'hémoragie mon amour...
Que l'évidence conforte la marche
Je sais que je t'aimerais toujours
Non rien ne m'effraie sur ton étagère
Ni la bile de ton pâle bonheur
Ni tes imcubations aux regards hostères
Où les seuls pensés désormais sonnent mon heure.