• Forum de Poésie. Postez vos poèmes, vos commentaires...
    Bienvenue à tous les poètes ! Forum de poésie, où tout le monde peut poster ses poèmes, mettre son avis sur les poèmes des autres et participer aux discussions !
Image cliquable Image Cadeau Fête des Mères

Poème Douceur de vie

Gonzague

Grand poète
Inscrit
16 Septembre 2019
Messages
1,085
J'aime
1,879
Points
178
Age
61
Localité
Nord et Dordogne
Je suis
Un homme
Hors ligne
#1
Douceur de vie,

Il pleut des secondes de temps, lourdes, chargées
De passé, quelquefois, ondées de souvenirs
De rafales amenées par un vent insurgé
En pensant à cela, je ne peux rajeunir.

Sur un étroit chemin, je marche nonchalant
Et de mes pas, quelques cailloux râlent en silence
Perturbés dans leur sommeil millénaire, avant
De retrouver leur infatigable indolence.

Le soleil au zénith martèle la garrigue
De ses rayons ardents, la cigale stridule
Dans un champ d’oliviers, mon ami Rodrigue
Me rejoint vers le port, malgré la canicule.

Assis devant la mer, il parle de jeunesse
Evoquant les rires, jeux de notre enfance
Il a l’art d’exprimer, avec tant de finesse
Ces doux moments, où nous étions sans défense.

Les années ont marquées de leurs larges sourires
Les visages, nos regards ont toujours l’éclat
Emerveillé, la vie ici a fait mûrir
Nos cœurs, nous trinquons à deux, sous la pergola.

Le soir tombe sur le quai et sur l’océan
Le jour nous salue, nous lui rendons l’au revoir
Il est l’heure de retourner bienséant
A son logis, je vous dis chers lecteurs, bonsoir !
 
Inscrit
21 Octobre 2018
Messages
17,948
J'aime
20,254
Points
173
Localité
France
Je suis
Une femme
Hors ligne
#2





Douceur de vie,



Il pleut des secondes de temps, lourdes, chargées

De passé, quelquefois, ondées de souvenirs

De rafales amenées par un vent insurgé

En pensant à cela, je ne peux rajeunir.



Sur un étroit chemin, je marche nonchalant

Et de mes pas, quelques cailloux râlent en silence

Perturbés dans leur sommeil millénaire, avant

De retrouver leur infatigable indolence.



Le soleil au zénith martèle la garrigue

De ses rayons ardents, la cigale stridule

Dans un champ d’oliviers, mon ami Rodrigue

Me rejoint vers le port, malgré la canicule.



Assis devant la mer, il parle de jeunesse

Evoquant les rires, jeux de notre enfance

Il a l’art d’exprimer, avec tant de finesse

Ces doux moments, où nous étions sans défense.



Les années ont marquées de leurs larges sourires

Les visages, nos regards ont toujours l’éclat

Emerveillé, la vie ici a fait mûrir

Nos cœurs, nous trinquons à deux, sous la pergola.



Le soir tombe sur le quai et sur l’océan

Le jour nous salue, nous lui rendons l’au revoir

Il est l’heure de retourner bienséant

A son logis, je vous dis chers lecteurs, bonsoir !
Un très bel écrit que j'ai vraiment apprécié
Merci de ce partage
Gaby
 

Membres en ligne

Aucun membre en ligne actuellement.
Haut