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Du Crépuscule à l’Aube
J’aime cette heure-là où le soleil se pose,
S’affaiblit lentement pour s’en aller dormir.
Certains disent parfois qu’il s’en irait mourir
Là-bas sur l’horizon où la mer se repose.
Il danserait dit-on sur la vague amoureuse
Jusqu’à épuisement, pour rêver dans ses bras,
La nuit avec aisance en robe d’apparat,
S’étendra sans rumeur, alanguie, paresseuse.
Les étoiles viendront étaler sa fortune,
En millier de Joyaux, rivière de diamants,
Offert aux âmes sœurs qui deviendront amants,
Pour une heure, un instant, chacun a sa chacune.
L’aurore au firmament pointera sa frimousse,
La nuit s’éclipsera à pas silencieux
Alors qu’à l’Est soudain, fringant, audacieux,
S’étire le soleil, dans l’Azur se trémousse.
« Encore un jour de plus où ses manches il retrousse. »
Margénye
Juillet 2016.
J’aime cette heure-là où le soleil se pose,
S’affaiblit lentement pour s’en aller dormir.
Certains disent parfois qu’il s’en irait mourir
Là-bas sur l’horizon où la mer se repose.
Il danserait dit-on sur la vague amoureuse
Jusqu’à épuisement, pour rêver dans ses bras,
La nuit avec aisance en robe d’apparat,
S’étendra sans rumeur, alanguie, paresseuse.
Les étoiles viendront étaler sa fortune,
En millier de Joyaux, rivière de diamants,
Offert aux âmes sœurs qui deviendront amants,
Pour une heure, un instant, chacun a sa chacune.
L’aurore au firmament pointera sa frimousse,
La nuit s’éclipsera à pas silencieux
Alors qu’à l’Est soudain, fringant, audacieux,
S’étire le soleil, dans l’Azur se trémousse.
« Encore un jour de plus où ses manches il retrousse. »
Margénye
Juillet 2016.