Hors ligne
Houle de pensées saisonnières frénétiques
Vivante, dans la canopée
Sur ma tour, ville incinérée;
Ivre de brises assoiffées de fric
Sur le bitume scintillent quelques étoiles
Que le cosmos a craché
En pleine névrose panachée
Les nébuleuses rompent les toiles
Au loin, oscillent les terriens
Les briquets s'allument, l'univers s'enfume
Les pupilles épient les nues vert; les papis pleurent
comme l'univers. La brume m'effleure me dit "t'es rien"
Trous dans les cœurs et la couche
d'ozone. La Lune sanglote, maussade, aigrie
Les nuages vides de pluie sont gris;
Tout le monde a l'air farouche
Bribes en vrac dans nos prunelles âcres
On bombe les pêches; Vive le plastique!
Qui nous détruit mais qui excite
Les marchés, les codes sexistes...
Vivante, dans la canopée
Sur ma tour, ville incinérée;
Ivre de brises assoiffées de fric
Sur le bitume scintillent quelques étoiles
Que le cosmos a craché
En pleine névrose panachée
Les nébuleuses rompent les toiles
Au loin, oscillent les terriens
Les briquets s'allument, l'univers s'enfume
Les pupilles épient les nues vert; les papis pleurent
comme l'univers. La brume m'effleure me dit "t'es rien"
Trous dans les cœurs et la couche
d'ozone. La Lune sanglote, maussade, aigrie
Les nuages vides de pluie sont gris;
Tout le monde a l'air farouche
Bribes en vrac dans nos prunelles âcres
On bombe les pêches; Vive le plastique!
Qui nous détruit mais qui excite
Les marchés, les codes sexistes...
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