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"Gamineries…"
Le long d'un chemin ludique,
Trois gamins promènent leurs rêves…
Badinages, bravades et mimiques,
En facéties de rires sans trêve,
Meublent la démarche indiscipline
De ces copains à l'amitié chaude.
Combien de rêveries, ils imaginent ?
Combien de projets, ils échafaudent ?…
Trois gamins promènent leurs rêves…
Badinages, bravades et mimiques,
En facéties de rires sans trêve,
Meublent la démarche indiscipline
De ces copains à l'amitié chaude.
Combien de rêveries, ils imaginent ?
Combien de projets, ils échafaudent ?…
Derrière une colline, d'autres gamins
Chantent, dansent et font les malins,
Avec sauts, tirailles et jeux d'adresse,
Pour apprendre l'adulte qui se dresse;
Avec luttes, combats et guerres infantiles,
Pour discerner le vrai du futile…
Ils jouent dans l'arrière-cours des Grands,
Qu'ils imitent comme un miroir en écran…
Chantent, dansent et font les malins,
Avec sauts, tirailles et jeux d'adresse,
Pour apprendre l'adulte qui se dresse;
Avec luttes, combats et guerres infantiles,
Pour discerner le vrai du futile…
Ils jouent dans l'arrière-cours des Grands,
Qu'ils imitent comme un miroir en écran…
Comme je sens mon enfance lointaine !
Je n'ai plus beaucoup de souvenance
Du temps où mes songes étaient en graine,
Ni du temps où mes gamineries donnaient des jouissances…
Ai-je déjà eu une enfance moi aussi ?
Pourtant, je devine encore l'enfant que je suis.
Pourtant, je perçois encore l'enfant qui me suit.
Mais, je crois qu'il s'est égaré dans les dédales encombrés
D'une vie d'adulte qui cherche encore trop sa plénitude,
Hors du charme infantile que détient la vérité,
Toujours enfouie dans mes rêves en sollicitude…
Je n'ai plus beaucoup de souvenance
Du temps où mes songes étaient en graine,
Ni du temps où mes gamineries donnaient des jouissances…
Ai-je déjà eu une enfance moi aussi ?
Pourtant, je devine encore l'enfant que je suis.
Pourtant, je perçois encore l'enfant qui me suit.
Mais, je crois qu'il s'est égaré dans les dédales encombrés
D'une vie d'adulte qui cherche encore trop sa plénitude,
Hors du charme infantile que détient la vérité,
Toujours enfouie dans mes rêves en sollicitude…
En regardant ces jeunes en liesse,
Qui jouent, rient et gaminent sans sagesse,
Je me surprends à revivre ma propre enfance…
Alors j'entrevois, en redondance,
Ce que j'aurais dû conserver de l'enfant,
Soit un peu de cette pureté infantile en oublie,
Soit celle qui construit les géants…
Cette pureté, à retrouver, de l'enfant,
Cette pureté qui construit les géants...
Qui jouent, rient et gaminent sans sagesse,
Je me surprends à revivre ma propre enfance…
Alors j'entrevois, en redondance,
Ce que j'aurais dû conserver de l'enfant,
Soit un peu de cette pureté infantile en oublie,
Soit celle qui construit les géants…
Cette pureté, à retrouver, de l'enfant,
Cette pureté qui construit les géants...
