- Inscrit
- 31 Décembre 2018
- Messages
- 591
- J'aime
- 1,130
- Points
- 148
- Je suis
- Un homme
Hors ligne
Le 22 août 1862, naissait un des grands génies français de la musique dont on dit qu'il créa son propre univers musical, que personne avant ni après lui ne renouvela !
Anachronique, original, scribouilleur, bizarre....bien des qualificatifs ont été prononcé contre lui à son époque...
Il fût attiré par des musiques étrangères comme les gamelans indonésiens, la musique tzigane et la musique russe (il encensait Moussorgski).
Parmi tous ses chefs-d'œuvre, je ne me lasse jamais de réécouter la Suite Bergamasque (et son merveilleux Clair de lune) ainsi que la Plus que lente.
Dans mon adolescence, j'avais écrit un poème inspiré de son
CLAIR DE LUNE
La lune est comme toi, lumineuse et fantasque,
Elle invente un arpège au carreau de la Nuit,
Ondule sous l’accent d’une aile bergamasque…
Va!… Goûte au long refrain des songes alanguis…
Quand ta beauté se farde aux rayons des étoiles, Une pâle auréole esquissant l’astre d’or
Epouse notre amour comme un largo sans voiles Qui perle du lointain, sur les vagues s’endort…
Ton pouls contre mes doigts, mon cœur, entends-tu battre,
Mêlés au fil de l’eau chromatique et saumâtre,
Les contours nonchalants d’une arabesque, ou ceux
De nos baisers, fondus en almes sortilèges, Caresses d’un instant où la ligne s’allège ?
Et l'aube, par degrés, se lève au-dessus d’eux…
clair de lune...
Anachronique, original, scribouilleur, bizarre....bien des qualificatifs ont été prononcé contre lui à son époque...
Il fût attiré par des musiques étrangères comme les gamelans indonésiens, la musique tzigane et la musique russe (il encensait Moussorgski).
Parmi tous ses chefs-d'œuvre, je ne me lasse jamais de réécouter la Suite Bergamasque (et son merveilleux Clair de lune) ainsi que la Plus que lente.
Dans mon adolescence, j'avais écrit un poème inspiré de son
CLAIR DE LUNE
La lune est comme toi, lumineuse et fantasque,
Elle invente un arpège au carreau de la Nuit,
Ondule sous l’accent d’une aile bergamasque…
Va!… Goûte au long refrain des songes alanguis…
Quand ta beauté se farde aux rayons des étoiles, Une pâle auréole esquissant l’astre d’or
Epouse notre amour comme un largo sans voiles Qui perle du lointain, sur les vagues s’endort…
Ton pouls contre mes doigts, mon cœur, entends-tu battre,
Mêlés au fil de l’eau chromatique et saumâtre,
Les contours nonchalants d’une arabesque, ou ceux
De nos baisers, fondus en almes sortilèges, Caresses d’un instant où la ligne s’allège ?
Et l'aube, par degrés, se lève au-dessus d’eux…