Lettre ouverte Je vous dis ceci.

Lorsque je vois cet enfant du Pakistan,
Snifant sa colle, à chaque instant.
Lorsque je vois ces gros bourgeois,
Tripotant le corps de ces petits villageois.
Lorsque je vois ces actes fratricides au Congo,
Ces femmes rejetées, par les leurs, leur disant go.

Je vous dis arrêtez vos mensonges messieurs!

lorsque je vois ce mur érigé en Palestine,
Ce lanceur de pierre, touché par cette balle assassine.
Lorsque je vois ce que Babylone endure,
Sous l'empire du mal qui perdure,
Lorsque je vois ces peuples opprimés,
Réclamant leur identité réprimée.

Je vous dis arrêtez vos mensonges messieurs!

Lorsque je vois ces esclaves frémirent,
Supportant leurs conditions sans gémir.
Lorsque je vois cette sœur obligée,
D'ôter son voile, de se négliger.
Lorsque je vois cet enfant des favelas,
Poursuivi pour être tuer à cet endroit là.

Je vous dis arrêtez vos mensonges messieurs!

Lorsque je vois tous ces gens qui pullulent,
Croupissant au fond de leurs cellules.
Innocents, ces mutins contre l'indifférence,
Bravant la mort, que de vivre dans l'indescence.
Lorsque je vois vos visages blêmes,
Vous , les grands puissants du calame.

Je vous dis arrêtez vos mensonges messieurs!

Lorsque je vois ces mains tremblantes de froid,
Fouillant les poubelles débordantes des rois,
Ces estomacs avalant n'importe quoi,
Alors que vos vaches, mangent poisson et foie.
Lorsque je vois ce mineur des Andes, mâchant du coca,
Alors que ces hamburgers s'imbibent du cola.

je vous dis arrêtez vos mensonges messieurs.

Lorsque je vois que la parole est à la répression,
Sous les yeux de toutes ces organisations.
Cette maison blanche aux idées noires,
Cette main, à travers le monde, sur l'or noir,
Cette main,bien faiseuse et nourricière,
Cette main puissante, une vraie souricière.

Je vous dis arrêtez vos mensonges messieurs.

Lorsque je vois les droits de l'homme bafoués,
Ceux de l'enfant tué en pleine foulée.
Lorsque je vois cette femme humiliée,
Cette mère, pleureuse, au sourire spolié.
Lorsque je vois cette nature suffoquée,
Victime de votre idéologie mal flanquée.

Je vous dis arrêtez vos mensonges messieurs!

Lorsque je vois ces prétendants Falachas,
Brandir l'étoile à ces pachas,
Seule échappatoire pour le rachat, la famine,
N'a ni visage, ni foi, je m'appelle Claire, mieux Géraldine;
Notre terre promise, notre temple de Salomon,
L’œuvre du Samaritain, notre mur, notre égarement.

Je vous dis arrêtez vos mensonges messieurs!

Lorsque je vois notre délivrance,
Cette graine naissante de vos souffrances,
Puisant ses forces de vos avortements,
Sa béatitude de vos tourments.
Votre existence, de notre sueur dépend,
Notre liberté sème et se répand.

Notre espoir est béni par le maître des cieux,
Arrêtez vos mensonges messieurs.



Voir la pièce jointe 13953

Juillet 2007,les choses deviennent pires.

Bel écrit qui donne à réfléchir.
Vous avez totalement raisons
Gaby

les choses deviennent pire, elles se dégradent de plus en plus, mais ce n'est pas par la guerre que les problèmes se régleront, quand à Babylone, ce ne sont pas les occidentaux qui l'ont détruite, mais des peuplades arabes! par contre les occidentaux aux lieux d'aller semer la zizanie dans ces pays du moyen orient auraient mieux fait et feraient mieux de s'occuper de ce qui se passe chez eux, nous n'avons pas à nous mêler de la vie de ces gens là, ils ont leur culture, leurs moeurs leurs habitudes, qui ne sont pas les nôtres, ces pays là étaient civilisés avant nous, c'est leur savoir qui s'est disséminé à travers le monde, aujourd'hui hélas leurs civilisation sont décadentes, c'est triste , mais comme toute civilisation qui avait atteint son apogée il y a la chute, mais il faut les laisser vivre à leur rythme, certains parmi ces pays anciennement tiers monde, sont en train de nous rattraper et même nous dépasser!
ce n'est pas à nous à leur imposer quoi que ce soit, c'est à eux à trouver et a règler leur vie!

Lorsque je vois cet enfant du Pakistan,
Snifant sa colle, à chaque instant.
Lorsque je vois ces gros bourgeois,
Tripotant le corps de ces petits villageois.
Lorsque je vois ces actes fratricides au Congo,
Ces femmes rejetées, par les leurs, leur disant go.

Je vous dis arrêtez vos mensonges messieurs!

lorsque je vois ce mur érigé en Palestine,
Ce lanceur de pierre, touché par cette balle assassine.
Lorsque je vois ce que Babylone endure,
Sous l'empire du mal qui perdure,
Lorsque je vois ces peuples opprimés,
Réclamant leur identité réprimée.

Je vous dis arrêtez vos mensonges messieurs!

Lorsque je vois ces esclaves frémirent,
Supportant leurs conditions sans gémir.
Lorsque je vois cette sœur obligée,
D'ôter son voile, de se négliger.
Lorsque je vois cet enfant des favelas,
Poursuivi pour être tuer à cet endroit là.

Je vous dis arrêtez vos mensonges messieurs!

Lorsque je vois tous ces gens qui pullulent,
Croupissant au fond de leurs cellules.
Innocents, ces mutins contre l'indifférence,
Bravant la mort, que de vivre dans l'indescence.
Lorsque je vois vos visages blêmes,
Vous , les grands puissants du calame.

Je vous dis arrêtez vos mensonges messieurs!

Lorsque je vois ces mains tremblantes de froid,
Fouillant les poubelles débordantes des rois,
Ces estomacs avalant n'importe quoi,
Alors que vos vaches, mangent poisson et foie.
Lorsque je vois ce mineur des Andes, mâchant du coca,
Alors que ces hamburgers s'imbibent du cola.

je vous dis arrêtez vos mensonges messieurs.

Lorsque je vois que la parole est à la répression,
Sous les yeux de toutes ces organisations.
Cette maison blanche aux idées noires,
Cette main, à travers le monde, sur l'or noir,
Cette main,bien faiseuse et nourricière,
Cette main puissante, une vraie souricière.

Je vous dis arrêtez vos mensonges messieurs.

Lorsque je vois les droits de l'homme bafoués,
Ceux de l'enfant tué en pleine foulée.
Lorsque je vois cette femme humiliée,
Cette mère, pleureuse, au sourire spolié.
Lorsque je vois cette nature suffoquée,
Victime de votre idéologie mal flanquée.

Je vous dis arrêtez vos mensonges messieurs!

Lorsque je vois ces prétendants Falachas,
Brandir l'étoile à ces pachas,
Seule échappatoire pour le rachat, la famine,
N'a ni visage, ni foi, je m'appelle Claire, mieux Géraldine;
Notre terre promise, notre temple de Salomon,
L’œuvre du Samaritain, notre mur, notre égarement.

Je vous dis arrêtez vos mensonges messieurs!

Lorsque je vois notre délivrance,
Cette graine naissante de vos souffrances,
Puisant ses forces de vos avortements,
Sa béatitude de vos tourments.
Votre existence, de notre sueur dépend,
Notre liberté sème et se répand.

Notre espoir est béni par le maître des cieux,
Arrêtez vos mensonges messieurs.



Voir la pièce jointe 13953

Juillet 2007,les choses deviennent pires.

On ne peut rester indifférent à ce texte si bien imagé.
On peut prétendre également que cette maison blanche
(dépendamment qui l'habite) n'est pas toujours si blanche quand elle
s'immisce dans ces Pays pas toujours pour les bonnes raisons et l'Otan
penche toujours OTAN (autant) sur le côté du plus fort, pas toujours
pour la justice malheureusement.

Amitiés
Impoésie.

En somme vous avez raison,au clairon de la coalition cousue par les puissances,certains politiques arabes ont répondu,mais pas leur peuple...Une bêtise humaine,juste pour l'or noir,dont certaines de ces puissances ont perdu beaucoup de leurs intérêts...J.P. Chevènement avait vu juste,alors il a préféré démissionner.

Un écrit à lire et à méditer...

Que de souffrances dans le monde, l'homme qui se prend pour Dieu...
Où est l'humain avec des sentiments purs ?

Amitiés et bonne soirée

mon gentil petit soldat, ceux qui comme toi ont une âme pure sont minoritaires mais ne sont jamais aux commandement, à la direction! et ne se remplissent pas les poches sur le dos des autres!

mon gentil petit soldat, ceux qui comme toi ont une âme pure sont minoritaires mais ne sont jamais aux commandement, à la direction! et ne se remplissent pas les poches sur le dos des autres!

Un écrit à lire et à méditer...

Que de souffrances dans le monde, l'homme qui se prend pour Dieu...
Où est l'humain avec des sentiments purs ?

Amitiés et bonne soirée