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Il s’app’lait Désiré, conçu en éprouvette,
Inséré dans un ventre pour une poignée d’euros
Afin de satisfaire de nouvelles requêtes,
Celles de couples hors d’ la norme, de Sodome et Lesbos.
Il n’a donc pas connu son papa, sa maman,
La cigogne l’a vendu à deux homosexuels,
Le petit joli brun, et le blond bien plus grand,
Papa 1 Jean-Bernard, Papa 2 Gabriel.
A peine eut – il trois ans, que les deux jeunes pères,
Comme la moitié des couples, ils se sont séparés.
La garde d’un enfant, on la donne à la mère,
Aucun des deux parents n’a donc voulu céder.
La décision du juge pour le bien du gamin
Fut d’offrir au bambin une ambiance féminine,
Un ménage de femmes lui a tendu la main,
Le papa Isabelle et la maman Jeanine.
La papa est partie, remplacée par Jeannot,
Un beau -père fantastique, rapidement plaqué,
Car Jeanine a flashé sur une beauté de trop,
Désiré s’est trouvé de nouveau sur l’marché.
Au risque de paraître aujourd’hui démodé,
Je pense qu’un Président qui se veut être normal,
Ne doit pas pour des voix un beau jour effacer,
L’éternel rôle de femme et celui de son mâle.
Faudra – t –il supprimer les mots « papa » « maman » ?
Confier à oncles et tantes l’éducation sexuelle ?
Revenir sur la mode du bon allaitement ?
Abolir les pronoms comme le « il « et le « elle » ?
« Il y a pire ! » Comme diront, ceux dénués de principes,
« Comme les couples hétéros qui torturent leurs gamins,
Les homos ont du cœur, mais ne faites pas la lippe,
De la normalité, ils s’écartent du chemin.
Quarante mille enfants sont déjà installés,
Dans des ménages homos, sans poser de tracas.
Ce p’tit chiffre devrait – il pour autant imposer,
De trop légiférer aux risques de gros dégâts ?
Désiré malgré tout a réussi sa vie,
Il s’est un jour marié avec une Margot,
Elevée par un couple, Geneviève et Julie,
D’un seul coup deux belles – mères, et là c’en fut de trop…
Mon objectif a été d'évoquer de manière un peu humoristique, un fait de société très complexe lequel à mon sens n'a pas tenu suffisamment compte du sort des enfants. Toutes mes excuses à celles et ceux que j'aurais pu blesser ou choquer. MERCI
Inséré dans un ventre pour une poignée d’euros
Afin de satisfaire de nouvelles requêtes,
Celles de couples hors d’ la norme, de Sodome et Lesbos.
Il n’a donc pas connu son papa, sa maman,
La cigogne l’a vendu à deux homosexuels,
Le petit joli brun, et le blond bien plus grand,
Papa 1 Jean-Bernard, Papa 2 Gabriel.
A peine eut – il trois ans, que les deux jeunes pères,
Comme la moitié des couples, ils se sont séparés.
La garde d’un enfant, on la donne à la mère,
Aucun des deux parents n’a donc voulu céder.
La décision du juge pour le bien du gamin
Fut d’offrir au bambin une ambiance féminine,
Un ménage de femmes lui a tendu la main,
Le papa Isabelle et la maman Jeanine.
La papa est partie, remplacée par Jeannot,
Un beau -père fantastique, rapidement plaqué,
Car Jeanine a flashé sur une beauté de trop,
Désiré s’est trouvé de nouveau sur l’marché.
Au risque de paraître aujourd’hui démodé,
Je pense qu’un Président qui se veut être normal,
Ne doit pas pour des voix un beau jour effacer,
L’éternel rôle de femme et celui de son mâle.
Faudra – t –il supprimer les mots « papa » « maman » ?
Confier à oncles et tantes l’éducation sexuelle ?
Revenir sur la mode du bon allaitement ?
Abolir les pronoms comme le « il « et le « elle » ?
« Il y a pire ! » Comme diront, ceux dénués de principes,
« Comme les couples hétéros qui torturent leurs gamins,
Les homos ont du cœur, mais ne faites pas la lippe,
De la normalité, ils s’écartent du chemin.
Quarante mille enfants sont déjà installés,
Dans des ménages homos, sans poser de tracas.
Ce p’tit chiffre devrait – il pour autant imposer,
De trop légiférer aux risques de gros dégâts ?
Désiré malgré tout a réussi sa vie,
Il s’est un jour marié avec une Margot,
Elevée par un couple, Geneviève et Julie,
D’un seul coup deux belles – mères, et là c’en fut de trop…
Mon objectif a été d'évoquer de manière un peu humoristique, un fait de société très complexe lequel à mon sens n'a pas tenu suffisamment compte du sort des enfants. Toutes mes excuses à celles et ceux que j'aurais pu blesser ou choquer. MERCI