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Le Morpion Routard
Au cours de ses loisirs et sans précautions
Le baron, c’est navrant, reçut un morpion.
Pas un simple phthirius inguinalis banal
Mais un pédiculé beau et original
Qui voulait voyager par les moyens du bord
Il n’avait pas le choix, il fit du corps à corps.
Le baron recevait, en trompant la baronne,
Une marquise jeune et joyeuse luronne
Qui montra au baron un si bel appétit
Que le morpion secoué fit sa malle et partit
Dans les sourcils soyeux de la dame en question.
La marquise à son tour logea le morpion.
La noblesse à ses heures aimait jouer Sapho
Elle joua aux dames avec la belle Mado
Dont le pubis touffu fournit un joli gîte
À l’animal mouvant que l’inertie irrite.
Il resta chez Mado pendant un jour ou deux
Puis reçut la visite d’un paillard amoureux.
Qui agita son nid avec tant de vigueur
Que le pou de pubis en déguerpit sur l’heure.
S’accrochant de ses griffes à l’objet masculin
Prit alors pension chez le beau Célestin
Qui en plus de Mado fouettait bien d’autres chats
Mais le morpion crispé ne se décrochait pas.
Le paillard en question plaisant à la baronne,
Au lit de la très chère donna de sa personne
Elle était parfumée or le morpion aima
L’odeur du patchouli et il déménagea.
La baronne épilée fut peu hospitalière
Ne laissant pour camper à peine une clairière.
Madame la baronne avait des thés charmants
Qui bougeaient l’animal souvent le réveillant
Il faillit ressortir du gîte confortable
Tant la dame avec joie se remettait à table.
Même Il faillit partir avec le jeune Eustache
S’étant par négligence perdu dans sa moustache.
Puis revint le baron qui, sortant d’abstinence,
Anima la baronne à si vive cadence
Que l'animal en chut revenant au départ
Il tomba en glissant à la base du dard
Disant j’arrête tout, voyager ça me tue
Je vais me reposer sur le coté charnu.
Au cours de ses loisirs et sans précautions
Le baron, c’est navrant, reçut un morpion.
Pas un simple phthirius inguinalis banal
Mais un pédiculé beau et original
Qui voulait voyager par les moyens du bord
Il n’avait pas le choix, il fit du corps à corps.
Le baron recevait, en trompant la baronne,
Une marquise jeune et joyeuse luronne
Qui montra au baron un si bel appétit
Que le morpion secoué fit sa malle et partit
Dans les sourcils soyeux de la dame en question.
La marquise à son tour logea le morpion.
La noblesse à ses heures aimait jouer Sapho
Elle joua aux dames avec la belle Mado
Dont le pubis touffu fournit un joli gîte
À l’animal mouvant que l’inertie irrite.
Il resta chez Mado pendant un jour ou deux
Puis reçut la visite d’un paillard amoureux.
Qui agita son nid avec tant de vigueur
Que le pou de pubis en déguerpit sur l’heure.
S’accrochant de ses griffes à l’objet masculin
Prit alors pension chez le beau Célestin
Qui en plus de Mado fouettait bien d’autres chats
Mais le morpion crispé ne se décrochait pas.
Le paillard en question plaisant à la baronne,
Au lit de la très chère donna de sa personne
Elle était parfumée or le morpion aima
L’odeur du patchouli et il déménagea.
La baronne épilée fut peu hospitalière
Ne laissant pour camper à peine une clairière.
Madame la baronne avait des thés charmants
Qui bougeaient l’animal souvent le réveillant
Il faillit ressortir du gîte confortable
Tant la dame avec joie se remettait à table.
Même Il faillit partir avec le jeune Eustache
S’étant par négligence perdu dans sa moustache.
Puis revint le baron qui, sortant d’abstinence,
Anima la baronne à si vive cadence
Que l'animal en chut revenant au départ
Il tomba en glissant à la base du dard
Disant j’arrête tout, voyager ça me tue
Je vais me reposer sur le coté charnu.
