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Poème Les cloches ont sonné

Moïse Wolff

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#1
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Toutes les cloches des églises
ont carillonné de concert
les ondes ont frémi exquises
sensations au coeur qui se serre


C'est l'air même que l'on respire
qui reste chargé d'émotions
on aimerait pouvoir le dire
aux sons qui percent les baillons

Juste le temps d'une volée
qui fait que la raison résonne
et ensemence la pensée
pour que le poète crayonne

A notre dame de paris
hommage à cette grande dame
chargée d'histoire et de récits
tant de prières en son âme.

Moïse Wolff
© le 1704/2019

texte protégé



 
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#2
Joli soir mon ami

Rien qu'en te lisant une fois ... j'en ai le coeur battant.
IL est vivant ce poème, il sort du plus profond de toi : je le vois bien.
franchement éblouissant !
En principe, tu fais fort mais alors là c'est le comble !

Bien à toi

ta Rose attentive et émue
 

astree84

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#3
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Toutes les cloches des églises
ont carillonné de concert
les ondes ont frémi exquises
sensations au coeur qui se serre


C'est l'air même que l'on respire
qui reste chargé d'émotions
on aimerait pouvoir le dire
aux sons qui percent les baillons


Juste le temps d'une volée
qui fait que la raison résonne
et ensemence la pensée
pour que le poète crayonne


Le temps de voir qui s'en amuse
en se couvrant de compliments
le temps que les volées accusent
d'autres cloches assurément.


Moïse Wolff
©le 17/04/2019
j'aurai aimée entendre ce choeur de cloches sonner toutes en même temps, dans notre village les cloches n'ont pas sonnées, c'est étrange ou n'aurais-je pas prêté attention, mes portes étaient grandes ouvertes , je n'ai rien entendu, ni à Gordes qui est à côté ni à Ménerbes qui nous touche, ni même à Cavaillon, ce carillon aurait du voler pardessus les toits et nous atteindre tous, rien, demain je poserai des questions
votre poème par contre a atteint mon coeur! merci
Emie
 

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#4
j'aurai aimée entendre ce choeur de cloches sonner toutes en même temps, dans notre village les cloches n'ont pas sonnées, c'est étrange ou n'aurais-je pas prêté attention, mes portes étaient grandes ouvertes , je n'ai rien entendu, ni à Gordes qui est à côté ni à Ménerbes qui nous touche, ni même à Cavaillon, ce carillon aurait du voler pardessus les toits et nous atteindre tous, rien, demain je poserai des questions
votre poème par contre a atteint mon coeur! merci
Emie
Dans ma petite ville, moi aussi, je n'ai rien entendu hélas !

pardonne moi Moïse d'avoir grignoté ta page

Rose ^^
 

Moïse Wolff

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#5
Joli soir mon ami

Rien qu'en te lisant une fois ... j'en ai le coeur battant.
IL est vivant ce poème, il sort du plus profond de toi : je le vois bien.
franchement éblouissant !
En principe, tu fais fort mais alors là c'est le comble !

Bien à toi

ta Rose attentive et émue
Tu es trop gentille rose mais j'apprécie ton compliment. Le dernier quatrain souligne mon ressenti sur ce drame ( sans nommer ceux qui seraient derrière tout cela) évidemment. Nous sommes en pleine d/ictature.

Belle soirée chère rose
Moïse
 

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#6
Tu es trop gentille rose mais j'apprécie ton compliment. Le dernier quatrain souligne mon ressenti sur ce drame ( sans nommer ceux qui seraient derrière tout cela) évidemment. Nous sommes en pleine d/ictature.

Belle soirée chère rose
Moïse
Moïse, je ne suis pas trop gentille , ni bienveillante, je ne pratique pas les messages de complaisance.
Tu as choisi des rimes féminines : d'où l'émotion à la lecture.
" Ca pardonne pas" comme dirait Emile Ajar alias Romain Gary .
Je te remercie d'avoir attiré mon attention sur le dernier quatrain car ... en effet ... j'avais un peu deviné mais n'étais pas sûre d'avoir compris.
Comme tu le dis : nous sommes bien sous une dictature ! Hélas !

Bien à toi

Rose ^^ fidèle
 

Moïse Wolff

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#7
j'aurai aimée entendre ce choeur de cloches sonner toutes en même temps, dans notre village les cloches n'ont pas sonnées, c'est étrange ou n'aurais-je pas prêté attention, mes portes étaient grandes ouvertes , je n'ai rien entendu, ni à Gordes qui est à côté ni à Ménerbes qui nous touche, ni même à Cavaillon, ce carillon aurait du voler pardessus les toits et nous atteindre tous, rien, demain je poserai des questions
votre poème par contre a atteint mon coeur! merci
Emie
Vous avez raison chère Emie, toutes les cloches n'ont peut être pas sonné, sans doute étaient elles pour certaines d'entre elles émues. Merci infiniment de votre venue commentée.

Moïse
 

Oyem

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Toutes les cloches des églises
ont carillonné de concert
les ondes ont frémi exquises
sensations au coeur qui se serre


C'est l'air même que l'on respire
qui reste chargé d'émotions
on aimerait pouvoir le dire
aux sons qui percent les baillons


Juste le temps d'une volée
qui fait que la raison résonne
et ensemence la pensée
pour que le poète crayonne


Le temps de voir qui s'en amuse
en se couvrant de compliments
le temps que les volées accusent
d'autres cloches assurément.


Moïse Wolff
©le 17/04/2019
Et là ce soir au ciel nuité
le clair de lune comme un onguent
sur Notre Dame mutilée
soigne ses plaies, son coeur béant
 

Moïse Wolff

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#9
Et là ce soir au ciel nuité
le clair de lune comme un onguent
sur Notre Dame mutilée
soigne ses plaies, son coeur béant
Un sublime quatrain que vous offrez chère Véronique, il est parfait et se marie fort bien avec mon texte. Merci pour cette touche si délicate.
Moïse
 
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#11
Moïse je ne sais si à grenoble les cloches ont sonné car assez loin du centre ville et de plus la télévision était allumée mais ton poème m'à emportée jusqu'a notre dame défigurée
Un grand merci
Gaby
 

Moïse Wolff

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#12
Moïse, je ne suis pas trop gentille , ni bienveillante, je ne pratique pas les messages de complaisance.
Tu as choisi des rimes féminines : d'où l'émotion à la lecture.
" Ca pardonne pas" comme dirait Emile Ajar alias Romain Gary .
Je te remercie d'avoir attiré mon attention sur le dernier quatrain car ... en effet ... j'avais un peu deviné mais n'étais pas sûre d'avoir compris.
Comme tu le dis : nous sommes bien sous une dictature ! Hélas !

Bien à toi

Rose ^^ fidèle
Bonjour Rose, en finale j'ai changé les derniers vers du dernier quatrain, le texte s'en trouve plus harmonieux
Belle journée en ce jour de jeudi !

Moïse
 

Espérance

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#16



Toutes les cloches des églises
ont carillonné de concert
les ondes ont frémi exquises
sensations au coeur qui se serre


C'est l'air même que l'on respire
qui reste chargé d'émotions
on aimerait pouvoir le dire
aux sons qui percent les baillons


Juste le temps d'une volée
qui fait que la raison résonne
et ensemence la pensée
pour que le poète crayonne


A notre dame de paris
hommage à cette grande dame
chargée d'histoire et de récits
tant de prières en son âme.


Moïse Wolff
© le 1704/2019

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Bravo et respect.

Hélas, la violence va revenir à Paris samedi avec ceux qui ne respectent rien et qui sont dominés par la jalousie, l'envie et le plaisir de diviser. Ils fulminent après les dons pour Notre Dame mais, incohérents, oublient que le poids de toute leur casse surpasse le montant de l'argent donné pour la réparer et sera à la charge du contribuable. Ils n'ont pas non plus assez de lumière pour saisir que la largesse des dons pour Notre Dame évitera au peuple de payer pour son patrimoine atteint en plein coeur.

La joie du travail bien fait, quitte à passer la nuit entière pour qu'il soit parfait, la joie du service, la simplicité de la vie, l'honnêteté et l'humilité, voilà ce à quoi appellent les cendres de Notre Dame de Paris.

Que l'esprit du compagnonnage en filigrane de votre poème remette à l'honneur dans ce pays la devise des Compagnons charpentiers : "Ne pas se servir, ne pas asservir, mais Servir."

Rien ne nous est dû sur cette Terre, tout devient grâce si nous oeuvrons de gratitude et fournissons tous nos efforts non seulement pour subsister mais pour "faire de sa vie une oeuvre d'art".

Pardon pour cette réflexion suscitée par votre poème brillant et généreux.

Merci à vous.
 

Moïse Wolff

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#17
A penn ar bed...les cloches ont sonné longtemps!

Pour atténuer le sort de la Grande Dame.....vacillante!!

une poésie qui percute!

amitiés

RP
Merci RP de ta venue commentée, les cloches des églises n'ont pas sonné partout étonnamment !

Amitiés
Mo
 

Moïse Wolff

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#18
Moïse je ne sais si à grenoble les cloches ont sonné car assez loin du centre ville et de plus la télévision était allumée mais ton poème m'à emportée jusqu'a notre dame défigurée
Un grand merci
Gaby
Merci à toi Gaby de ta légendaire gentillesse.
Je t'embrasse
Moïse
 
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