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La rosée renaît, le jour fuit
Vers les racines des palmiers,
La rose des sables se dissout
Sous la tempête, tout fane.
Et l’oiseau se cache
Dans un profond creuset,
Dans la nuit muette, on soupire,
Les étoiles, seules, colorent le ciel,
Un voile sombre et sableux
Se laisse choir sur l’horizon,
Et sur un rocher, assis,
Sous les ramures ombiliquées
La nuit monte
Et rien ne reste
De ces visages silencieux,
L’âme humaine semble
Toucher les étoiles.
Naji OKBA.
Vers les racines des palmiers,
La rose des sables se dissout
Sous la tempête, tout fane.
Et l’oiseau se cache
Dans un profond creuset,
Dans la nuit muette, on soupire,
Les étoiles, seules, colorent le ciel,
Un voile sombre et sableux
Se laisse choir sur l’horizon,
Et sur un rocher, assis,
Sous les ramures ombiliquées
La nuit monte
Et rien ne reste
De ces visages silencieux,
L’âme humaine semble
Toucher les étoiles.
Naji OKBA.