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Vers libres les mains,

automne-

Poète confirmé
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18 Mai 2019
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Je suis
Une femme
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#1
Cette voix enrouée
qui ne vient pas d’ici ,,
Qui a glissé du mur ?
qui en renvoie l’écho ..

Le chagrin silencieux
tout tremblant de lumière
De celui qui regarde
sa vie son corps ses mains,

Son être tout entier
remis entre les mains
D’autres corps d’autres vies
d’ autres mains que les siennes.

écrit suite au regard bouleversant
d’un homme en maison de retraite.

réédité
 
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automne-

Poète confirmé
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18 Mai 2019
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#2
merci EricS
douloureux le regard de cet homme qui me suit et me parle encore, en silence, me dire de ses yeux,
qu'il ne demande plus, rien. il semblait tout comprendre, tout accepter, et j'entendais sa voix, chaude,
si faible presque inaudible, les femmes ne pouvaient comprendre, certaines sur des chariots serrés les
uns contre les autres tout autour d'une table.
 

Espérance

Grand poète
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#4
Cette voix enrouée
qui ne vient pas d’ici ,,
Qui a glissé du mur ?
qui en renvoie l’écho ..

Le chagrin silencieux
tout tremblant de lumière
De celui qui regarde
sa vie son corps ses mains,

Son être tout entier
remis entre les mains
D’autres corps d’autres vies
d’ autres mains que les siennes.

écrit suite au regard bouleversant
d’un homme en maison de retraite.

réédité

Tout est là : tout le poids d'une vie - la vie qui nous rattrape toujours - concentré dans ce regard et cette dernière force d'espérance lovée en un souffle pressentant sa fin, pour passer le relais au souffle de L'Esprit, dont nous ne sommes que les supports gracieux sur Terre.
 

astree84

Grand poète
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#5
Cette voix enrouée
qui ne vient pas d’ici ,,
Qui a glissé du mur ?
qui en renvoie l’écho ..

Le chagrin silencieux
tout tremblant de lumière
De celui qui regarde
sa vie son corps ses mains,

Son être tout entier
remis entre les mains
D’autres corps d’autres vies
d’ autres mains que les siennes.

écrit suite au regard bouleversant
d’un homme en maison de retraite.

réédité
ces regards sont inoubliables, d'une tristesse à mourir, mes yeux ont rencontrés de ces regards désespérés, nous posant je ne sais quelles questions, auxquelles nous ne pouvons de toutes manières pas répondre!
votre poème a si bien su faire naitre cette ambiance , ces instants bouleversants!
 

Fleurette

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#6
Cette voix enrouée
qui ne vient pas d’ici ,,
Qui a glissé du mur ?
qui en renvoie l’écho ..

Le chagrin silencieux
tout tremblant de lumière
De celui qui regarde
sa vie son corps ses mains,

Son être tout entier
remis entre les mains
D’autres corps d’autres vies
d’ autres mains que les siennes.

écrit suite au regard bouleversant
d’un homme en maison de retraite.

réédité

Tous ces regards désemparés par la réalité nous suivent tout le temps.
Quand on pénètre dans une maison de retraite , cette ambiance faite de tristesse et de souffrance nous empare et on caresse tous ces petits "vieux" de toute notre tendresse et nos larmes coulent intérieurement.
Merci Maiiii
 

automne-

Poète confirmé
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#7
merci
petitPierrot.gif

* Fleurette * Astree * Espérance * Personne * EricS *




 
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Victoria5983

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#8
Cette voix enrouée
qui ne vient pas d’ici ,,
Qui a glissé du mur ?
qui en renvoie l’écho ..

Le chagrin silencieux
tout tremblant de lumière
De celui qui regarde
sa vie son corps ses mains,

Son être tout entier
remis entre les mains
D’autres corps d’autres vies
d’ autres mains que les siennes.

écrit suite au regard bouleversant
d’un homme en maison de retraite.

réédité
c'est tellement triste ces maisons de retraite ......qui serons hélas notre avant dernier "refuge"....merci pour le regard attendri que vous avez partagé avec son regard bouleversé Vic
 
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