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Ma vie est une danse où s’épand la quadrille
Virevoltant sans fin dans mon manège bleu
En composant des vers pour que riment au mieux
Mes battements ailés pour ne pas que vacille
Tout cet orchestre aimeur qui m’offrit ma rythmique.
Ma mère est à la harpe, mon père au clavecin
Afin que leur duo soit un hymne certain
De leur sincère amour sous cette lyre orphique
Pour que sous leur tempo d’un psaume palliatif
Eclose leur dernier oisillon nuageux.
Après avoir cassé mon cocon vaporeux
D’une apparence ouatée parsemée d’impulsifs
Spicilèges narrant toute une mélopée
D’affections conférées durant l’incubation
J’ai pu y découvrir trois autres oisillons.
J’ai compris que ma mère au cours de ma couvée
M’avait toujours bercé sous son chant mélodieux
Accompagnée de ma fratrie et de mon père
Qui m’entonnaient au son de leur natif bréviaire
Leurs dons en partitions humidifiant mes yeux.
J’ai saisis que chacun tenait à m’octroyer
Un présent de baptême en une onction bénite
Par une eau déversée sous la flûte implicite
De ma sœur m’irriguant son soutien éclairé
En conseils avisés qui guidera mes vols.
Ma deuxième frangine affublée de son luth
Avait toujours le goût, c’était son premier but
D’écrire des rondeaux, d’émotives oboles
Pour me rendre intimiste avec les sentiments
Et de là, a éclos, mon filon artistique.
Enfin mon frère en son mécanisme acoustique
Son doigté guitariste a fait poindre un roman
Contant nos incidents et nos péripéties
Partagés dès l’enfance en courses frénétiques
Qui formaient un ballet d’un partage éclectique.
C’est de par vos apports que je me suis bâtie
Afin d’œuvrer ma vie sous l’harmonie sensible
D’un stratus pianotant des touches bicolores
Reliés à son tison d’hermine poudrée d’or
Qui m’offre une romance en ses rais indicibles.
Oiseau Lyre.
Virevoltant sans fin dans mon manège bleu
En composant des vers pour que riment au mieux
Mes battements ailés pour ne pas que vacille
Tout cet orchestre aimeur qui m’offrit ma rythmique.
Ma mère est à la harpe, mon père au clavecin
Afin que leur duo soit un hymne certain
De leur sincère amour sous cette lyre orphique
Pour que sous leur tempo d’un psaume palliatif
Eclose leur dernier oisillon nuageux.
Après avoir cassé mon cocon vaporeux
D’une apparence ouatée parsemée d’impulsifs
Spicilèges narrant toute une mélopée
D’affections conférées durant l’incubation
J’ai pu y découvrir trois autres oisillons.
J’ai compris que ma mère au cours de ma couvée
M’avait toujours bercé sous son chant mélodieux
Accompagnée de ma fratrie et de mon père
Qui m’entonnaient au son de leur natif bréviaire
Leurs dons en partitions humidifiant mes yeux.
J’ai saisis que chacun tenait à m’octroyer
Un présent de baptême en une onction bénite
Par une eau déversée sous la flûte implicite
De ma sœur m’irriguant son soutien éclairé
En conseils avisés qui guidera mes vols.
Ma deuxième frangine affublée de son luth
Avait toujours le goût, c’était son premier but
D’écrire des rondeaux, d’émotives oboles
Pour me rendre intimiste avec les sentiments
Et de là, a éclos, mon filon artistique.
Enfin mon frère en son mécanisme acoustique
Son doigté guitariste a fait poindre un roman
Contant nos incidents et nos péripéties
Partagés dès l’enfance en courses frénétiques
Qui formaient un ballet d’un partage éclectique.
C’est de par vos apports que je me suis bâtie
Afin d’œuvrer ma vie sous l’harmonie sensible
D’un stratus pianotant des touches bicolores
Reliés à son tison d’hermine poudrée d’or
Qui m’offre une romance en ses rais indicibles.
Oiseau Lyre.
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