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Mon ex amie mytho............un peu long pardon......mais à la hauteur de ma déception
De palais en château
de manoir en villa
mon amie la mytho,
pratiquait l’omerta,
sur sa vie pas si drôle
c’est vrai je le conçois.
Elle s’inventait des rôles
ça m’énervait parfois,
«surtout ne leur dis rien,
répétait elle sans fin:
mon ex est médecin,
tu comprends ça fait «bien»!»
Mais j’étais trop naïve,
je pensais qu’elle souffrait
était à la dérive
et je la soutenais.
Persistant à me taire
Je l’estimais pourtant !
Longtemps l’ai cru sincère
C’était déconcertant,
ma sympathie pour elle,
me fit faire des folies,,
ses ennemies, ses querelles,
s’imposaient miennes aussi…..
elle me fit un scandale,
quand à un mariage
une de ses rivale,
me salua au passage.
Un divorce sordide,
me l’avait transformée,
en un être cupide,
sans une once de pitié ……
Alors n’y tenant plus,
je devins réaliste,
je m’étais bien trop tu
et la belle égoïste,
n’entendit pas mes mots,
occupée qu’elle était
à soigner son ego :
connivence bafouée…...
Je me remémorais
les affronts qu’elle me fit
quand nous étions allées
visiter la Turquie :
elle ne prit pas partie,
lorsque l’on m’injuria,
à sa place j’aurai dit :
«monsieur restez courtois!»
elle n’accepta même pas,
et ça la fit bien rire,
qu’un homme plus jeune que moi
puisse me divertir,
au milieu d’un repas,
avec d’autres amis,
elle le divulgua,
je me sentis trahie.
Tout tournait autour d’elle,
et encore aujourd’hui,
elle voudrait être celle
que préfèrent mes amis,
Quand elle ne voulut pas ,
de ce long manteau blanc,
et qu’elle me le donna,
je le trouvais seyant,
mais quand deux jours après,
elle se ravisa,
je fus désabusée,
et lui rendis, ma foi…..!
moi l’éternelle complice,
recollais les morceaux….
Quand, amies, frère, sœur, fils,
lui tournèrent le dos .
Combien de fois s’était elle
réfugiée chez moi,
prétextant qu’avec elle,
tout le monde était froid.
Je lui pris rendez vous ,
chez mon propre coiffeur,
elle n’aima pas du tout,
se reteignit dans l’heure,
même ma pédicure,
à qui je la confiais,
connu la créature,
la honte m’envahissait…….
Plus tard son compagnon,
sachant quelle était là
me posait des questions,
elle disait : «réponds pas»
ou dit lui simplement;
que je suis dans mon bain
que c’est pas le moment,
que j’appellerai demain…….
pendant quelques années
ils avaient partagé,
un destin pas très gai,
étant handicapé,
elle du le soigner,
oubliant qu’il avait ,
pour elle tout donné,
elle l’abandonnait…..
il était généreux,
au début bien valide,
il construisit pour eux,
une villa splendide,
que plus tard elle vendit,
sans le moindre soucis,
quant à son bon ami,
vieillissant et meurtri,
il fut placé, durant
le reste de sa vie.
Ce dernier événement,
ne m’avait pas surpris,
la découvrant avide,
j’ouvris enfin les yeux ,
mon esprit plus lucide,
fit alors de son mieux,
pour rompre une amitié,
qui nous avait lié,
durant trente années
tout devint du passé.
Partie aux Canaries,
elle s’enorgueillit,
d’avoir une nouvelle vie,
et beaucoup d’autres amis………Vic achevé le 23/12/2021
De palais en château
de manoir en villa
mon amie la mytho,
pratiquait l’omerta,
sur sa vie pas si drôle
c’est vrai je le conçois.
Elle s’inventait des rôles
ça m’énervait parfois,
«surtout ne leur dis rien,
répétait elle sans fin:
mon ex est médecin,
tu comprends ça fait «bien»!»
Mais j’étais trop naïve,
je pensais qu’elle souffrait
était à la dérive
et je la soutenais.
Persistant à me taire
Je l’estimais pourtant !
Longtemps l’ai cru sincère
C’était déconcertant,
ma sympathie pour elle,
me fit faire des folies,,
ses ennemies, ses querelles,
s’imposaient miennes aussi…..
elle me fit un scandale,
quand à un mariage
une de ses rivale,
me salua au passage.
Un divorce sordide,
me l’avait transformée,
en un être cupide,
sans une once de pitié ……
Alors n’y tenant plus,
je devins réaliste,
je m’étais bien trop tu
et la belle égoïste,
n’entendit pas mes mots,
occupée qu’elle était
à soigner son ego :
connivence bafouée…...
Je me remémorais
les affronts qu’elle me fit
quand nous étions allées
visiter la Turquie :
elle ne prit pas partie,
lorsque l’on m’injuria,
à sa place j’aurai dit :
«monsieur restez courtois!»
elle n’accepta même pas,
et ça la fit bien rire,
qu’un homme plus jeune que moi
puisse me divertir,
au milieu d’un repas,
avec d’autres amis,
elle le divulgua,
je me sentis trahie.
Tout tournait autour d’elle,
et encore aujourd’hui,
elle voudrait être celle
que préfèrent mes amis,
Quand elle ne voulut pas ,
de ce long manteau blanc,
et qu’elle me le donna,
je le trouvais seyant,
mais quand deux jours après,
elle se ravisa,
je fus désabusée,
et lui rendis, ma foi…..!
moi l’éternelle complice,
recollais les morceaux….
Quand, amies, frère, sœur, fils,
lui tournèrent le dos .
Combien de fois s’était elle
réfugiée chez moi,
prétextant qu’avec elle,
tout le monde était froid.
Je lui pris rendez vous ,
chez mon propre coiffeur,
elle n’aima pas du tout,
se reteignit dans l’heure,
même ma pédicure,
à qui je la confiais,
connu la créature,
la honte m’envahissait…….
Plus tard son compagnon,
sachant quelle était là
me posait des questions,
elle disait : «réponds pas»
ou dit lui simplement;
que je suis dans mon bain
que c’est pas le moment,
que j’appellerai demain…….
pendant quelques années
ils avaient partagé,
un destin pas très gai,
étant handicapé,
elle du le soigner,
oubliant qu’il avait ,
pour elle tout donné,
elle l’abandonnait…..
il était généreux,
au début bien valide,
il construisit pour eux,
une villa splendide,
que plus tard elle vendit,
sans le moindre soucis,
quant à son bon ami,
vieillissant et meurtri,
il fut placé, durant
le reste de sa vie.
Ce dernier événement,
ne m’avait pas surpris,
la découvrant avide,
j’ouvris enfin les yeux ,
mon esprit plus lucide,
fit alors de son mieux,
pour rompre une amitié,
qui nous avait lié,
durant trente années
tout devint du passé.
Partie aux Canaries,
elle s’enorgueillit,
d’avoir une nouvelle vie,
et beaucoup d’autres amis………Vic achevé le 23/12/2021