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Mon âme tutoiera ces sombres horizons
En s’élevant bien haut dans ce monde si beau
Qui me fascine tant par son bleu indigo
Emplie de mysticisme et de ses religions
Sous un drapé poudré d’un monceau de mystères
Laissant planer en vol nos sources palliatives.
Il tend à démontrer qu’il est l’ode native
De tout ce que l’on sait, de notre imaginaire
En peignant chaque soir une toile aux multiples
Lucioles évoquant une pluie d’espérance
En attirant nos yeux pour créer une instance
Immuable de lumière en ce divin périple.
Il a fondé la vie, il a fondé la mort
Et modelé la Terre et tout notre système
En déversant sur nous une illustre bohème
D’éléments vespéraux caressant notre corps
En un air mélodieux sous un appeau lunaire
Où Vivaldi l’agrée sous ces quatre saisons.
L’été pour le Soleil, l’automne, pour les moissons
Bercé d’un sirocco acclimatant la sphère
D’un souffle de lyrisme au pleurs chargées d’odeurs
Annonçant les débuts d’un tissu nuageux
Qui en silence, héla, sous son bal floconneux
Le retour du printemps sous son frimas acteur.
Mais ce qu’il m’a offert de plus cher et précieux
Hormis mon paganisme est une vaporeuse
Chimère boréale à l’âme liquoreuse
Auréolée d’un rai illuminant les cieux
De son cœur étoilé d’un flambeau de savoir
Qui a conquis mon être et sublimer mon astre.
Un bel ange a veillé pour que dans mon désastre
J’aperçoive un rayon qui irradie mes soirs
Faisant de ce faisceau un espoir prometteur
En sa constellation d’un apparat canin
Sous un manteau d’argent à l’attrait patelin
Qui flamboie en mon cœur sous ses vers d’orateurs.
Oiseau Lyre.
En s’élevant bien haut dans ce monde si beau
Qui me fascine tant par son bleu indigo
Emplie de mysticisme et de ses religions
Sous un drapé poudré d’un monceau de mystères
Laissant planer en vol nos sources palliatives.
Il tend à démontrer qu’il est l’ode native
De tout ce que l’on sait, de notre imaginaire
En peignant chaque soir une toile aux multiples
Lucioles évoquant une pluie d’espérance
En attirant nos yeux pour créer une instance
Immuable de lumière en ce divin périple.
Il a fondé la vie, il a fondé la mort
Et modelé la Terre et tout notre système
En déversant sur nous une illustre bohème
D’éléments vespéraux caressant notre corps
En un air mélodieux sous un appeau lunaire
Où Vivaldi l’agrée sous ces quatre saisons.
L’été pour le Soleil, l’automne, pour les moissons
Bercé d’un sirocco acclimatant la sphère
D’un souffle de lyrisme au pleurs chargées d’odeurs
Annonçant les débuts d’un tissu nuageux
Qui en silence, héla, sous son bal floconneux
Le retour du printemps sous son frimas acteur.
Mais ce qu’il m’a offert de plus cher et précieux
Hormis mon paganisme est une vaporeuse
Chimère boréale à l’âme liquoreuse
Auréolée d’un rai illuminant les cieux
De son cœur étoilé d’un flambeau de savoir
Qui a conquis mon être et sublimer mon astre.
Un bel ange a veillé pour que dans mon désastre
J’aperçoive un rayon qui irradie mes soirs
Faisant de ce faisceau un espoir prometteur
En sa constellation d’un apparat canin
Sous un manteau d’argent à l’attrait patelin
Qui flamboie en mon cœur sous ses vers d’orateurs.
Oiseau Lyre.
