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Mono-rimons en quatrains sur ce qui ne rime à rien.
Ce fut pendant l’horreur d’un débat politique
Des ignares élus pillaient la république
De sottises nouvelles ils étaient prolifiques
La bourse de l’état en devint squelettique.
Leurs accords ne sachant avoir de sens pratique
Ils prétendaient régner sans les mathématiques
Et sur des déficits quasi astronomiques
Ils construisaient des plans de malades utopiques
Alors vint un penseur également comptable
Qui leur dit c’est assez vous êtes tous coupables
Tant que de nos dettes énormes vous seront imputables
Vous n’aurez plus qu’un SMIC en fin de mois payable.
Il y eut des murmures mais la chose équitable
Fit déserter les sots aux idées contestables
Seuls les actifs voulant un pays plus aimable
Recherchèrent ensemble une issue favorable.
On tria les dépenses et les rentrées aussi
Des inutilités on eut un grand souci
Seul le bien national fut de ce fait permis
D’excessives ponctions en eurent du dépit.
Les folies politiques qui étaient hors de prix
Disparurent aussitôt du budget du pays
Les offices étranges perdirent leur crédit
Quand l’inutilité fut mise par écrit.
On cessa d’écouter les prophètes sans gloire
Prêchant des inepties et les faiseurs d’histoires
Durent justifier leur promesses notoires
Prouvant qu’elles n’allaient pas amener des déboires
Le vide politique n’étant qu’un ostensoir
Les électeurs cessant d’être pris pour des poires
Acceptèrent aussitôt sans discours dérisoire
Que l’on bouche les trous de notre état passoire.
Et ceux qui magouillaient et mentaient sur l’état
D’un pays qui avait subi trop de dégâts
Ne purent continuer leurs sots mandarinats
De partis utopiques vendant du blablabla.
Un vent plus raisonnable aisément balaya
Les méfaits qui nuisaient à tous les quinquennats
Il fallait un meneur alors on revota
Sans se laisser berner par des sots ou des fats.
Ce fut pendant l’horreur d’un débat politique
Des ignares élus pillaient la république
De sottises nouvelles ils étaient prolifiques
La bourse de l’état en devint squelettique.
Leurs accords ne sachant avoir de sens pratique
Ils prétendaient régner sans les mathématiques
Et sur des déficits quasi astronomiques
Ils construisaient des plans de malades utopiques
Alors vint un penseur également comptable
Qui leur dit c’est assez vous êtes tous coupables
Tant que de nos dettes énormes vous seront imputables
Vous n’aurez plus qu’un SMIC en fin de mois payable.
Il y eut des murmures mais la chose équitable
Fit déserter les sots aux idées contestables
Seuls les actifs voulant un pays plus aimable
Recherchèrent ensemble une issue favorable.
On tria les dépenses et les rentrées aussi
Des inutilités on eut un grand souci
Seul le bien national fut de ce fait permis
D’excessives ponctions en eurent du dépit.
Les folies politiques qui étaient hors de prix
Disparurent aussitôt du budget du pays
Les offices étranges perdirent leur crédit
Quand l’inutilité fut mise par écrit.
On cessa d’écouter les prophètes sans gloire
Prêchant des inepties et les faiseurs d’histoires
Durent justifier leur promesses notoires
Prouvant qu’elles n’allaient pas amener des déboires
Le vide politique n’étant qu’un ostensoir
Les électeurs cessant d’être pris pour des poires
Acceptèrent aussitôt sans discours dérisoire
Que l’on bouche les trous de notre état passoire.
Et ceux qui magouillaient et mentaient sur l’état
D’un pays qui avait subi trop de dégâts
Ne purent continuer leurs sots mandarinats
De partis utopiques vendant du blablabla.
Un vent plus raisonnable aisément balaya
Les méfaits qui nuisaient à tous les quinquennats
Il fallait un meneur alors on revota
Sans se laisser berner par des sots ou des fats.