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Poème N'hésite jamais...

Espérance

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#1
N'hésite jamais à prendre quelqu'un dans tes bras,
c'est le salut et le seul poids et la vérité.
Quand tu meurs il ne reste plus
que les étreintes où tu auras donné tout de toi,
par pur élan du coeur,
par simple résonance avec l'univers.

N'hésite jamais à serrer quelqu'un sur ton coeur,
tu le feras vivre d'une vie qui surpasse tout,
alors tu le convaincras de son existence.

Le corps est un prodige
qui fait descendre, d'un ciel trop secret,
la tendresse qui sauve le monde.
 
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#7
Espérance merci, en écho au poème, beau et douloureux pour moi qui ne me souviens pas
de bras autour de mes épaules, ni des miens, fantômes devenus, rigidifiés par la dureté d'un
pensionnat glacial, puis la vie, tout simplement, ces lignes descendues de mon petit grenier,
refuge d'un vieux cahier à la couverture jaune, jeté au feu et devenu cendrilles.



Des siècles de bras

Ô Roi Clément enlaçant nos détresses
des siècles de bras au blizzard des hivers
emmitouflés de ciel que sont-ils devenus.


Guerrier infatigable le cœur pour bouclier
qui embrassez le monde mais les hommes ont peur.
Vos bras sont tout amour le monde votre cœur
gardez vos mains sur nos épaules s’il vous plaît.


Bien au-dessus des toits cette nuit à pas d’heure
une petite étoile brillait brillait brillait …
Le ciel n’est pas vide trop vieux ou bien absent
il nous tient par la main et ne nous lâche pas .


Un médecin de l’âme disait à un patient
‘ce n’est pas le ciel qui lâche votre main

c’est seulement vous qui lâchez la sienne.’

Cendrilles
Très beau et émouvant. Merci pour ce partage
Gaby
 

Espérance

Grand poète
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#13
Espérance merci, en écho au poème, beau et douloureux pour moi qui ne me souviens pas
de bras autour de mes épaules, ni des miens, fantômes devenus, rigidifiés par la dureté d'un
pensionnat glacial, puis la vie, tout simplement, ces lignes descendues de mon petit grenier,
refuge d'un vieux cahier à la couverture jaune, jeté au feu et devenu cendrilles.



Des siècles de bras

Ô Roi Clément enlaçant nos détresses
des siècles de bras au blizzard des hivers
emmitouflés de ciel que sont-ils devenus.


Guerrier infatigable le cœur pour bouclier
qui embrassez le monde mais les hommes ont peur.
Vos bras sont tout amour le monde votre cœur
gardez vos mains sur nos épaules s’il vous plaît.


Bien au-dessus des toits cette nuit à pas d’heure
une petite étoile brillait brillait brillait …
Le ciel n’est pas vide trop vieux ou bien absent
il nous tient par la main et ne nous lâche pas .


Un médecin de l’âme disait à un patient
‘ce n’est pas le ciel qui lâche votre main

c’est seulement vous qui lâchez la sienne.’

Cendrilles

Jésus est le seul Dieu qui a dit quand on lui demandait "où étais-tu donc ?" "j'étais malade, et vous m'avez visité, j'avais soif et vous m'avez donné à boire, ...".

Trop facile de se réfugier dans les prières et les invocations à une divinité désincarnée et trop lointaine.

Dieu, c'est là maintenant, tout de suite, dans le prochain, et tant qu'on ne le serre pas sur son coeur Dieu n'existe pas.

Demandez à l'Aigle qui reposait sur son sein...

Merci de votre visite, Mazurka
 

Espérance

Grand poète
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#14
Espérance merci, en écho au poème, beau et douloureux pour moi qui ne me souviens pas
de bras autour de mes épaules, ni des miens, fantômes devenus, rigidifiés par la dureté d'un
pensionnat glacial, puis la vie, tout simplement, ces lignes descendues de mon petit grenier,
refuge d'un vieux cahier à la couverture jaune, jeté au feu et devenu cendrilles.



Des siècles de bras

Ô Roi Clément enlaçant nos détresses
des siècles de bras au blizzard des hivers
emmitouflés de ciel que sont-ils devenus.


Guerrier infatigable le cœur pour bouclier
qui embrassez le monde mais les hommes ont peur.
Vos bras sont tout amour le monde votre cœur
gardez vos mains sur nos épaules s’il vous plaît.


Bien au-dessus des toits cette nuit à pas d’heure
une petite étoile brillait brillait brillait …
Le ciel n’est pas vide trop vieux ou bien absent
il nous tient par la main et ne nous lâche pas .


Un médecin de l’âme disait à un patient
‘ce n’est pas le ciel qui lâche votre main

c’est seulement vous qui lâchez la sienne.’

Cendrilles

Je crois que c'est saint Paul qui disait "Comment peux-tu aimer Dieu que tu ne vois pas si tu n'aimes pas le prochain que tu vois ?".
 

CLARI

Maître poète
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27 Octobre 2018
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#15
Tu as tout à fait raison.
Aimer son prochain et le lui prouver. C'est ce qui importe.
Serrer ceux qu'on aime sur son coeur c'est très important.
Merci pour ces paroles de vérité.
 
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