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Où en sommes nous donc ?
Le monde d’aujourd’hui n’est qu’un vieux chewing-gum
ça colle ça fait des fils et ça n’a plus de goût
Et le mensonge règne inspirant du dégoût.
L’ordre tant attendu n’est qu’un capharnaüm.
Trouvant des auditeurs pour leurs sottes promesses
Nombreux marchands de mots en se croyant malins
Arrivent a sortir triomphant de scrutins
Qui auraient du mener aux coups de pieds aux fesses.
Sans rien politiser puisque cela émet
Des remugles bizarres qui n’enchantent personne
De ce qui rend la vie difficile ou bien conne.
J’ai ,a tort à raison, décidé un rejet
Je ne me plaindrai plus voilà c'est décidé
Cela ne sert à rien et j'emmerde les autres
Donc de légèretés je serai bon apôtre
Et je veux de nouveau au sourire accéder.
Car si un gros virus nous menait chez la Parque
Il faudrait profiter des heures nous restant
Il semble que les mensonges devenant insistant
En plus du vil fléau la sottise débarque
Et puis dans ceux que j'aime il y en a beaucoup
Qui subissent plus que moi de grands désavantages
Alors il faut savoir admirer leur courage
Et sans sotte faiblesse rester poli et doux
Bien sur j'ai des soucis qui souvent s'accumulent
Mais étant à l'abri des cruautés du monde
Je ne pleurerai pas sur notre boule ronde
Qui à trop larmoyer se montre ridicule.
Alors je rêverai aux douceurs de ce jour
Que le monde persiste à offrir aux humains
Et même si je ne puis à tous tendre la main
Je parlerai masqué des bienfaits de l'amour.
Le monde d’aujourd’hui n’est qu’un vieux chewing-gum
ça colle ça fait des fils et ça n’a plus de goût
Et le mensonge règne inspirant du dégoût.
L’ordre tant attendu n’est qu’un capharnaüm.
Trouvant des auditeurs pour leurs sottes promesses
Nombreux marchands de mots en se croyant malins
Arrivent a sortir triomphant de scrutins
Qui auraient du mener aux coups de pieds aux fesses.
Sans rien politiser puisque cela émet
Des remugles bizarres qui n’enchantent personne
De ce qui rend la vie difficile ou bien conne.
J’ai ,a tort à raison, décidé un rejet
Je ne me plaindrai plus voilà c'est décidé
Cela ne sert à rien et j'emmerde les autres
Donc de légèretés je serai bon apôtre
Et je veux de nouveau au sourire accéder.
Car si un gros virus nous menait chez la Parque
Il faudrait profiter des heures nous restant
Il semble que les mensonges devenant insistant
En plus du vil fléau la sottise débarque
Et puis dans ceux que j'aime il y en a beaucoup
Qui subissent plus que moi de grands désavantages
Alors il faut savoir admirer leur courage
Et sans sotte faiblesse rester poli et doux
Bien sur j'ai des soucis qui souvent s'accumulent
Mais étant à l'abri des cruautés du monde
Je ne pleurerai pas sur notre boule ronde
Qui à trop larmoyer se montre ridicule.
Alors je rêverai aux douceurs de ce jour
Que le monde persiste à offrir aux humains
Et même si je ne puis à tous tendre la main
Je parlerai masqué des bienfaits de l'amour.
