Citation Paul Eluard (1895-1952)

"J’étais si près de toi que j'ai froid près des autres" extrait de "ma morte vivante" Paul Eluard
pour qui ? entre Gala qui le quitte pour Salvador Dali , Nusch qui meure d'une hémorragie cérébrale ou la dernière Dominique qu'il épouse un an avant sa mort ....je ne sais pas.... sans doute pour Nusch ....il faut que je cherche

"J’étais si près de toi que j'ai froid près des autres" extrait de "ma morte vivante" Paul Eluard
pour qui ? entre Gala qui le quitte pour Salvador Dali , Nusch qui meure d'une hémorragie cérébrale ou la dernière Dominique qu'il épouse un an avant sa mort ....je ne sais pas.... sans doute pour Nusch ....il faut que je cherche

"J’étais si près de toi que j'ai froid près des autres" extrait de "ma morte vivante" Paul Eluard
pour qui ? entre Gala qui le quitte pour Salvador Dali , Nusch qui meure d'une hémorragie cérébrale ou la dernière Dominique qu'il épouse un an avant sa mort ....je ne sais pas.... sans doute pour Nusch ....il faut que je cherche

"J’étais si près de toi que j'ai froid près des autres" extrait de "ma morte vivante" Paul Eluard
pour qui ? entre Gala qui le quitte pour Salvador Dali , Nusch qui meure d'une hémorragie cérébrale ou la dernière Dominique qu'il épouse un an avant sa mort ....je ne sais pas.... sans doute pour Nusch ....il faut que je cherche

Une belle citation c'était pour Nusch surnommée la muse des surréalistes, un poème qui décrit si bien la souffrance,l'errance, le dégoût de la vie sans elle...Très bon choix mon amie merci

Le plus extraordinaire poème d'amour jamais écrit pour une femme est celui de Paul Eluard pour Gala.
Je le connais par coeur et me le récite souvent en flânant....le voici....

La Courbe de tes yeux

La courbe de tes yeux fait le tour de mon cœur,
Un rond de danse et de douceur,
Auréole du temps, berceau nocturne et sûr,
Et si je ne sais plus tout ce que j'ai vécu
C'est que tes yeux ne m'ont pas toujours vu.

Feuilles de jour et mousse de rosée,
Roseaux du vent, sourires parfumés,
Ailes couvrant le monde de lumière,
Bateaux chargés du ciel et de la mer,
Chasseurs des bruits et sources des couleurs,
Parfums éclos d'une couvée d'aurores
Qui gît toujours sur la paille des astres,
Comme le jour dépend de l'innocence
Le monde entier dépend de tes yeux purs
Et tout mon sang coule dans leurs regards.

Paul ELUARD, Capitale de la douleur, (1926)