Hors ligne
Prix des Loriots 426 JP
Poésie
J’aime ce mot délicat qui tinte doux à mon oreille, fin, et léger, semblable à un parfum qui s’éveille.
Pareil à celui du mimosa qui vient en fin d’hiver, branches parées de mille grains couleur soleil, éclairer nos collines endormies. Au sol, jonche un tapis triste de brindilles aux nuances de miel.
Au printemps, c’est l’arôme du muguet, timides clochettes parsemées, qui éveillent en moi le son du mot magique Poésie. C’est aussi celui de la caroline sauvage, qui, à sa guise, pousse sous les grands pins protecteurs. Joli minois frivole, donnant la sensation d’être toujours de bonne humeur.
Elle grandit à son gré, droite, penchée, fine ou touffue. Peu importe, seuls, familiers, les rayons tamisés du soleil viennent, discrets et imprévus.
Et tout doucement vers la clarté du jour la guident. La liberté est sa richesse, elle offre généreusement ses minuscules et multiples corolles, sur sa tige courbée. Aux nombreux et fidèles amoureux de la forêt.
La chaleur de l’été fait lentement éclore, lavandes, chèvrefeuilles et genêts. Couleur de soleil couchant, or d’orient et de méditerranée. Cette palette de couleur fait, dans ma tête la farandole. Autour de mes souvenirs d’enfant. Ils vont, viennent et furtivement s’envolent.
Avec l’hiver vient la froidure, la nature fatiguée enfin s’est endormie. Elle n’a à nous offrir, pauvrette, que des fleurs sans odeur, et cependant si jolies. Roses de Noël, houx et cyclamens, viennent par magie ainsi que l'ont fait les rois mages, vêtus de leurs plus belles parures, pour offrir, leur présence au centre de la table dignement en l’honneur de ce cher Divin Enfant.
J’ai, expliqué à ma façon ce que reflète pour moi la poésie. C’est aussi prendre la liberté d’imaginer, de rêver, d’exprimer avec finesse, ce que je n’ose pas dire ou faire dans la vie de chaque jour, pour un oui pour un non m'extasier.
C’est encore de dire à ceux que j’aime, que je les aime. L’exprimer avec pour complice le papier est un plaisir extrême. La poésie, c’est aussi l’évasion. Elle me permet d’alléger mon cœur quand il souffre ou lorsque de bonheur il déborde.
Pour finir, la poésie c’est être vrai, c’est se dévoiler et pourquoi pas, soi-même s’étonner.
Merci ! A ce mot fabuleux si joli, Poésie, c’est lui qui me permet avec simplicité de m’ouvrir aux autres. Si les autres apprécient, merci de me lire, donc de m’aimer… à chaque instant cela me rend plus forte.
A toi Poésie, je dédie ces quelques lignes en ce beau jour de l’amour.
Que j'ai écrit pour vous tendrement ce matin, en l’honneur de Saint-Valentin.
Margénye.
Chers amis poètes, soyez indulgents ce sont mes tout début dans l’écriture.
Poésie
J’aime ce mot délicat qui tinte doux à mon oreille, fin, et léger, semblable à un parfum qui s’éveille.
Pareil à celui du mimosa qui vient en fin d’hiver, branches parées de mille grains couleur soleil, éclairer nos collines endormies. Au sol, jonche un tapis triste de brindilles aux nuances de miel.
Au printemps, c’est l’arôme du muguet, timides clochettes parsemées, qui éveillent en moi le son du mot magique Poésie. C’est aussi celui de la caroline sauvage, qui, à sa guise, pousse sous les grands pins protecteurs. Joli minois frivole, donnant la sensation d’être toujours de bonne humeur.
Elle grandit à son gré, droite, penchée, fine ou touffue. Peu importe, seuls, familiers, les rayons tamisés du soleil viennent, discrets et imprévus.
Et tout doucement vers la clarté du jour la guident. La liberté est sa richesse, elle offre généreusement ses minuscules et multiples corolles, sur sa tige courbée. Aux nombreux et fidèles amoureux de la forêt.
La chaleur de l’été fait lentement éclore, lavandes, chèvrefeuilles et genêts. Couleur de soleil couchant, or d’orient et de méditerranée. Cette palette de couleur fait, dans ma tête la farandole. Autour de mes souvenirs d’enfant. Ils vont, viennent et furtivement s’envolent.
Avec l’hiver vient la froidure, la nature fatiguée enfin s’est endormie. Elle n’a à nous offrir, pauvrette, que des fleurs sans odeur, et cependant si jolies. Roses de Noël, houx et cyclamens, viennent par magie ainsi que l'ont fait les rois mages, vêtus de leurs plus belles parures, pour offrir, leur présence au centre de la table dignement en l’honneur de ce cher Divin Enfant.
J’ai, expliqué à ma façon ce que reflète pour moi la poésie. C’est aussi prendre la liberté d’imaginer, de rêver, d’exprimer avec finesse, ce que je n’ose pas dire ou faire dans la vie de chaque jour, pour un oui pour un non m'extasier.
C’est encore de dire à ceux que j’aime, que je les aime. L’exprimer avec pour complice le papier est un plaisir extrême. La poésie, c’est aussi l’évasion. Elle me permet d’alléger mon cœur quand il souffre ou lorsque de bonheur il déborde.
Pour finir, la poésie c’est être vrai, c’est se dévoiler et pourquoi pas, soi-même s’étonner.
Merci ! A ce mot fabuleux si joli, Poésie, c’est lui qui me permet avec simplicité de m’ouvrir aux autres. Si les autres apprécient, merci de me lire, donc de m’aimer… à chaque instant cela me rend plus forte.
A toi Poésie, je dédie ces quelques lignes en ce beau jour de l’amour.
Que j'ai écrit pour vous tendrement ce matin, en l’honneur de Saint-Valentin.
Margénye.
Chers amis poètes, soyez indulgents ce sont mes tout début dans l’écriture.
