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Poème Pour motif impérieux

Moïse Wolff

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#1


Aujourd'hui, je l'atteste à l'encre de ma plume
Pour motif impérieux, je vais me promener.
Aucun achat en vue je puis vous l'assurer,
Envie de voir la mer qui frise sur l'écume


Quand le vent la caresse et dresse son costume.
Je ferme alors les yeux, je l'écoute gronder
Et la vague se brise et vient toucher le pied,
Comme une invitation, du moins je le présume.


Mais mon village est loin de l'océan si bleu.
À plus d'un kilomètre en bord de mer sableux
Si proche et si lointain, suis-je l'oiseau en cage ?


Je vais m'imaginer les pieds nus sur la rive
Quand la vague se brise et montre son corsage
Son envie sur ma peau, sa caresse lascive.



Moïse
Le 13/11/2020

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#4


Aujourd'hui, je l'atteste à l'encre de ma plume
Pour motif impérieux, je vais me promener.
Aucun achat en vue je puis vous l'assurer,
Envie de voir la mer qui frise sur l'écume


Quand le vent la caresse et dresse son costume.
Je ferme alors les yeux, je l'écoute gronder
Et la vague se brise et vient toucher le pied,
Comme une invitation, du moins je le présume.


Mais mon village est loin de l'océan si bleu.
À plus d'un kilomètre en bord de mer sableux
Si proche et si lointain, suis-je l'oiseau en cage ?


Je vais m'imaginer les pieds nus sur la rive
Quand la vague se brise et montre son corsage
Son envie sur ma peau, sa caresse lascive.



Moïse
Le 13/11/2020

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Que c'est beau c'est beau la mer
François Deguelt il me semble ?

Comme ton poème est beau Mo
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Bonne soirée
Gaby
 

Chantal

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#6


Aujourd'hui, je l'atteste à l'encre de ma plume
Pour motif impérieux, je vais me promener.
Aucun achat en vue je puis vous l'assurer,
Envie de voir la mer qui frise sur l'écume


Quand le vent la caresse et dresse son costume.
Je ferme alors les yeux, je l'écoute gronder
Et la vague se brise et vient toucher le pied,
Comme une invitation, du moins je le présume.


Mais mon village est loin de l'océan si bleu.
À plus d'un kilomètre en bord de mer sableux
Si proche et si lointain, suis-je l'oiseau en cage ?


Je vais m'imaginer les pieds nus sur la rive
Quand la vague se brise et montre son corsage
Son envie sur ma peau, sa caresse lascive.



Moïse
Le 13/11/2020

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Merci Moïse pour cette belle balade au vent du large... Une bouffée d'air pur vivifiante !
 
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#7


Aujourd'hui, je l'atteste à l'encre de ma plume
Pour motif impérieux, je vais me promener.
Aucun achat en vue je puis vous l'assurer,
Envie de voir la mer qui frise sur l'écume


Quand le vent la caresse et dresse son costume.
Je ferme alors les yeux, je l'écoute gronder
Et la vague se brise et vient toucher le pied,
Comme une invitation, du moins je le présume.


Mais mon village est loin de l'océan si bleu.
À plus d'un kilomètre en bord de mer sableux
Si proche et si lointain, suis-je l'oiseau en cage ?


Je vais m'imaginer les pieds nus sur la rive
Quand la vague se brise et montre son corsage
Son envie sur ma peau, sa caresse lascive.



Moïse
Le 13/11/2020

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Originalité dans la forme et toujours ce style sauvage et évasif comme je l'aime tant chez vous !

Merci pour ce trésor.
 
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#8


Aujourd'hui, je l'atteste à l'encre de ma plume
Pour motif impérieux, je vais me promener.
Aucun achat en vue je puis vous l'assurer,
Envie de voir la mer qui frise sur l'écume


Quand le vent la caresse et dresse son costume.
Je ferme alors les yeux, je l'écoute gronder
Et la vague se brise et vient toucher le pied,
Comme une invitation, du moins je le présume.


Mais mon village est loin de l'océan si bleu.
À plus d'un kilomètre en bord de mer sableux
Si proche et si lointain, suis-je l'oiseau en cage ?


Je vais m'imaginer les pieds nus sur la rive
Quand la vague se brise et montre son corsage
Son envie sur ma peau, sa caresse lascive.



Moïse
Le 13/11/2020

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Magnifique , bravo JC Dominé amitiés
 
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#13
Magnifique et ça nous parle ! Beau sonnet qui nous permet l'évasion.

En ville j'ai un besoin impérieux d'aller dans des parcs, de voir mon père à la campagne avec son magnifique jardin... J'avais eu la même idée que toi d'écrire sur la nécessité de me recueillir auprès d'une nature sauvage et surtout paisible loin de la vile ville et de ce ciel infiniment gris et maussade.

Merci Moïse pour ce partage.

J'ai aimé ton poème tout simplement,

Julien
 
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