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Pourquoi ?
Les choses acquises nous semblent vaines,
Les causes exquises nous fendent les veines.
Que de promesses, le temps a semé,
Peu de prouesses, et tant ont germées.
Souffle le vent, sur les champs de l'espoir,
Souffrent les gens, à qui on tend un miroir.
Brisé le sommeil des tourments anciens,
Prier le soleil détournant des siens.
Amputés sont les coquelicots, lorsque le vent s'éveille,
Embrumés sont les paquebots, lorsque les ombres l’étayent.
Affermies sont les mains de celui qui combat,
Asservis furent les liens de celui qui tomba.
Le passé peut ronger le cœur, comme la mer ronge le fer,
Les armées qui chantent par cœur, comme pour oublier l'enfer.
100 fois il trouva les clés, Pourtant tant furent perdues,
10 lois il pensa encrées, contemplant sur son talus.
Les choses acquises nous semblent vaines,
Les causes exquises nous fendent les veines.
Que de promesses, le temps a semé,
Peu de prouesses, et tant ont germées.
Souffle le vent, sur les champs de l'espoir,
Souffrent les gens, à qui on tend un miroir.
Brisé le sommeil des tourments anciens,
Prier le soleil détournant des siens.
Amputés sont les coquelicots, lorsque le vent s'éveille,
Embrumés sont les paquebots, lorsque les ombres l’étayent.
Affermies sont les mains de celui qui combat,
Asservis furent les liens de celui qui tomba.
Le passé peut ronger le cœur, comme la mer ronge le fer,
Les armées qui chantent par cœur, comme pour oublier l'enfer.
100 fois il trouva les clés, Pourtant tant furent perdues,
10 lois il pensa encrées, contemplant sur son talus.
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