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Quand tu n’es pas là, les oiseaux me parlent de toi.
Ils me disent et redisent tous les mots de ton cœur,
Je ferme alors mes yeux, et j’écoute leur voix,
J’entends la mélodie, la chanson du bonheur.
Quand je marche tout seul, le long de l’océan,
La mer claque sa langue sur le sable de velours,
Comme pour me dire écoutes, tournes – toi dans le vent,
Entends ta belle Rwandaise, ressens ses mots d’amour.
Alors tous les espoirs sont à nouveau permis,
Les quelques mois qui restent, se réduisent à des jours,
Tu es la pièce maîtresse de ma joie, de ma vie,
Et mon pas fatigué, ne me semble plus lourd.
Le soleil qui se couche au lit de l’horizon,
A bien séché les larmes de mes pensées,
Encore une journée de passée que c’est bon,
Je m’approche chaque jour de tes senteurs, ma fée.
Ils me disent et redisent tous les mots de ton cœur,
Je ferme alors mes yeux, et j’écoute leur voix,
J’entends la mélodie, la chanson du bonheur.
Quand je marche tout seul, le long de l’océan,
La mer claque sa langue sur le sable de velours,
Comme pour me dire écoutes, tournes – toi dans le vent,
Entends ta belle Rwandaise, ressens ses mots d’amour.
Alors tous les espoirs sont à nouveau permis,
Les quelques mois qui restent, se réduisent à des jours,
Tu es la pièce maîtresse de ma joie, de ma vie,
Et mon pas fatigué, ne me semble plus lourd.
Le soleil qui se couche au lit de l’horizon,
A bien séché les larmes de mes pensées,
Encore une journée de passée que c’est bon,
Je m’approche chaque jour de tes senteurs, ma fée.