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J'ai fais un rêve étrange où tu m'apparaissais,
Ma planète endormie, ô d'un bleu pâle et sombre !
Le soleil traversait péniblement tes traits
Où je voyais pleurer tes rivières sans nombre.
Et puis, des milliards de fourmis se terraient
Dans tous leurs habitats où ta croûte s'abîme,
Apeurées par un monstre invisible et discret
Qui redorait pourtant ta Nature sublime!
Je ne comprenais pas où fût le Bien, le Mal...
Les uns cherchaient à vivre avec force et les autres,
Du règne végétal ou du règne animal,
Exempts de toute peur et de leurs patenôtres,
Profitaient du répit d'un air moins pollué
Par le bruit, les fumées, les déchets innombrables.
Et je voyais soudain ton visage éclairé
Par une autre lueur plus belle et vénérable !
J'aurais bien voulu dire aux fourmis : "Arrêtez !
Ne vous inquiétez pas ! Vous êtes multitudes !
Ce monstre n'est-il pas un seuil pour méditez ?"
Et je me réveillais soudain parmi les prudes !....
Ma planète endormie, ô d'un bleu pâle et sombre !
Le soleil traversait péniblement tes traits
Où je voyais pleurer tes rivières sans nombre.
Et puis, des milliards de fourmis se terraient
Dans tous leurs habitats où ta croûte s'abîme,
Apeurées par un monstre invisible et discret
Qui redorait pourtant ta Nature sublime!
Je ne comprenais pas où fût le Bien, le Mal...
Les uns cherchaient à vivre avec force et les autres,
Du règne végétal ou du règne animal,
Exempts de toute peur et de leurs patenôtres,
Profitaient du répit d'un air moins pollué
Par le bruit, les fumées, les déchets innombrables.
Et je voyais soudain ton visage éclairé
Par une autre lueur plus belle et vénérable !
J'aurais bien voulu dire aux fourmis : "Arrêtez !
Ne vous inquiétez pas ! Vous êtes multitudes !
Ce monstre n'est-il pas un seuil pour méditez ?"
Et je me réveillais soudain parmi les prudes !....