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Beaucoup connaissent de Robert Schumann les Scènes d'enfants ou le concerto pour piano, souvent diffusés.
Mais peu connaissent et savent apprécier son Quintette pour piano op 44, un des monuments de la musique de chambre (avec celui de Mozart, celebrissime!)
Il existe une anecdote véridique, rapportée par sa femme Clara pour laquelle il avait dédié cette oeuvre romantique.
Lors du passage de leur ami Félix Mendelssohn, et alors que Clara était souffrante, Félix la remplaça au piano pour l'interprétation de l'œuvre (jouant "à vue" sans connaître la partition!). Alors qu'ils arrivaient au Finale, Mendelssohn donna un conseil éclairé à Robert pour transformer la dernière partie en une fugue magistrale et virtuose qui soit un véritable défi aux cordes.
La postérité salua, à travers Brahms (autre ami de la famille), Dvorak,Fauré, Edgar, Franck et Chostakovitch, la perfection de ce quintette !
Je n'ai malheureusement pas trouvé sur internet la version de référence de ce finale, celui du quatuor de Budapest (avec Pablo Casals) allié à Rudolf Serkin au piano.
Pour les amateurs de biographie, je conseille vivement la lecture du livre de Philippe André qui fit sa thèse sur la "folie" de Schumann.
Toutes les hypothèses sont scrutées comme une enquêtes policière et chacune tombe à la lumière de la science actuelle sauf la véridique....Schumann mourut bien d'une syphilis tertiaire contractée à 22 ans et dont les troubles neurologiques s'aggravèrent jusqu'au stade d'immense névrose et d'idées suicidaires.
Mais peu connaissent et savent apprécier son Quintette pour piano op 44, un des monuments de la musique de chambre (avec celui de Mozart, celebrissime!)
Il existe une anecdote véridique, rapportée par sa femme Clara pour laquelle il avait dédié cette oeuvre romantique.
Lors du passage de leur ami Félix Mendelssohn, et alors que Clara était souffrante, Félix la remplaça au piano pour l'interprétation de l'œuvre (jouant "à vue" sans connaître la partition!). Alors qu'ils arrivaient au Finale, Mendelssohn donna un conseil éclairé à Robert pour transformer la dernière partie en une fugue magistrale et virtuose qui soit un véritable défi aux cordes.
La postérité salua, à travers Brahms (autre ami de la famille), Dvorak,Fauré, Edgar, Franck et Chostakovitch, la perfection de ce quintette !
Je n'ai malheureusement pas trouvé sur internet la version de référence de ce finale, celui du quatuor de Budapest (avec Pablo Casals) allié à Rudolf Serkin au piano.
Pour les amateurs de biographie, je conseille vivement la lecture du livre de Philippe André qui fit sa thèse sur la "folie" de Schumann.
Toutes les hypothèses sont scrutées comme une enquêtes policière et chacune tombe à la lumière de la science actuelle sauf la véridique....Schumann mourut bien d'une syphilis tertiaire contractée à 22 ans et dont les troubles neurologiques s'aggravèrent jusqu'au stade d'immense névrose et d'idées suicidaires.