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Scrogneugneu! ou comme disait La Fontaine :
« Une ample comédie à cent actes divers
Et dont la scène est l’univers »
« Une ample comédie à cent actes divers
Et dont la scène est l’univers »
Je suis dans l’embarras car bien que j’ai du temps
Je ne saurais vous lire tous et complètement
J’arrive sur le site et mon œil s’illumine
Je vois des tas de titres excitant ma rétine
Et je commence à lire: implacable engrenage
Où je me fais captif de vos plaisants rouages
L’amour et la nature se racontant en vers
Croisent à la césure d’autres sujets divers
Et puis tout m’intéresse ce qui fait que parfois
Ma pendule du temps ne marche plus très droit.
Une pièce de vers dont l’éclat me fascine
Néglige le rôti dorant dans la cuisine
Or je me vois contraint la faim me torturant
D’arrêter de vous lire l’estomac réclamant.
Donc je ne lis pas tout, amis c’est bien dommage
Vos textes infinis me rongent le courage
Je garde un peu de temps pour écrire des sottises
Qui douces ou amères sont longues ou concises
Puis je retourne lire en prenant du retard
Vos clavier Messieurs-Dames sont de sacrés bavards
Bref vous le devinez vous êtes intéressants
Vous soignez tout ennui vous lire est passionnant
Et c’est une lueur quotidienne et plaisante
Que d’ouvrir vos écrits qui m’attirent et m’enchantent
Mais le temps coule hélas et nul ne peut freiner
L’éternel cache-cache de sa fragilité
Et comme il faut un bout à tout ce qui commence
La minute d’après est déjà en partance
Donc je vous dis merci pour vos encres-bonheurs
Qui tant que le temps dure enchantent mon humeur
La clepsydre du temps étant une pétasse
De fin inéluctable peu à peu me menace
Et il paraît qu’après avoir passé le mur
Le temps n’est plus le même : infiniment il dure
Donc en catimini mon fantôme pourra
Se délecter d’écrits qui ne finiront pas
Ceux qui me rejoindront plus tard sur mon nuage
Viendront écrire encor car il serait dommage
Que ne dévoilant pas leurs belles écritures
On s’ennuyât en haut sans rimer en mesure.
Voila je suis bavard et ça sent le brûlé
Le rôti sur le gaz vient de capituler
Je ne saurais vous lire tous et complètement
J’arrive sur le site et mon œil s’illumine
Je vois des tas de titres excitant ma rétine
Et je commence à lire: implacable engrenage
Où je me fais captif de vos plaisants rouages
L’amour et la nature se racontant en vers
Croisent à la césure d’autres sujets divers
Et puis tout m’intéresse ce qui fait que parfois
Ma pendule du temps ne marche plus très droit.
Une pièce de vers dont l’éclat me fascine
Néglige le rôti dorant dans la cuisine
Or je me vois contraint la faim me torturant
D’arrêter de vous lire l’estomac réclamant.
Donc je ne lis pas tout, amis c’est bien dommage
Vos textes infinis me rongent le courage
Je garde un peu de temps pour écrire des sottises
Qui douces ou amères sont longues ou concises
Puis je retourne lire en prenant du retard
Vos clavier Messieurs-Dames sont de sacrés bavards
Bref vous le devinez vous êtes intéressants
Vous soignez tout ennui vous lire est passionnant
Et c’est une lueur quotidienne et plaisante
Que d’ouvrir vos écrits qui m’attirent et m’enchantent
Mais le temps coule hélas et nul ne peut freiner
L’éternel cache-cache de sa fragilité
Et comme il faut un bout à tout ce qui commence
La minute d’après est déjà en partance
Donc je vous dis merci pour vos encres-bonheurs
Qui tant que le temps dure enchantent mon humeur
La clepsydre du temps étant une pétasse
De fin inéluctable peu à peu me menace
Et il paraît qu’après avoir passé le mur
Le temps n’est plus le même : infiniment il dure
Donc en catimini mon fantôme pourra
Se délecter d’écrits qui ne finiront pas
Ceux qui me rejoindront plus tard sur mon nuage
Viendront écrire encor car il serait dommage
Que ne dévoilant pas leurs belles écritures
On s’ennuyât en haut sans rimer en mesure.
Voila je suis bavard et ça sent le brûlé
Le rôti sur le gaz vient de capituler