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C'était un soir d'automne où la lune buvait
J'espérai encore en une nuit de dentelle
Sans vraiment croire en lui pauvre polichinelle...
Je vis sa voiture qui alors arrivait
Vers moi il s'arrêtait, et un premier baiser
Il me prit dans ses bras, grand instant de magie
Où les yeux dans les yeux, nos regards tels bougies
Enflammés par l'amour de câlins imposés
Après le temps passé restent les souvenirs
De cette nuit d'ivresse où survivent les rêves
Qui après ton départ, Ô doux bonheur sans trêve
Imprimeront mon âme en émaux de plaisirs
J'espérai encore en une nuit de dentelle
Sans vraiment croire en lui pauvre polichinelle...
Je vis sa voiture qui alors arrivait
Vers moi il s'arrêtait, et un premier baiser
Il me prit dans ses bras, grand instant de magie
Où les yeux dans les yeux, nos regards tels bougies
Enflammés par l'amour de câlins imposés
Après le temps passé restent les souvenirs
De cette nuit d'ivresse où survivent les rêves
Qui après ton départ, Ô doux bonheur sans trêve
Imprimeront mon âme en émaux de plaisirs
