Hors ligne
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Sur la pelouse d’avril.
Les tulipes succèdent aux jonquilles.
Passage de relais en famille.
Car toutes les fleurs sont sœurs ;
Quand elles manifestent du bonheur.
Il y a toujours des fleurs ;
Pour clamer les regrets, la nostalgie, l’amour, la joie, les passions.
Des roses de noël aux asters et chrysanthèmes.
C’est la longue farandole,
Des pétales et des coroles.
Hautes sur leurs tiges,
Que le vent fustige,
Ou au ras du sol.
Afin d’occuper l’espace
Par leur charme et leur grâce.
Elles prolifèrent et prospèrent.
Sans que ni le vent, ni la pluie ne les altère.
Des papillons jaunes ou blanc,
Précurseurs du printemps.
Se posent délicatement à tire d’ailes.
Afin de leur confier des nouvelles,
Sur un ton confidentiel.
Des histoires, des bagatelles,
Des rumeurs comme il en court dans la nature.
Friande de végétale littérature,
Emplie de parfums, de couleurs, de belles peintures
Qui font les tableaux des impressionnistes
Dont Claude Monet est le leader en haut de liste.
C’est la longue farandole,
Des pétales et des coroles.
Hautes sur leurs tiges,
Que le vent fustige,
Ou au ras du sol.
Afin d’occuper l’espace
Par leur charme et leur grâce.
Les taupes, elles, préfèrent les toiles de Soulages chantre du noir qui exècre le printemps.
Raymond 31 03 2020
Le temps que j’écrive ce poème dédié à la nature, les pâquerettes se sont ouvertes, ce sont de grandes dormeuses, très coquettes qui attendent le soleil afin de montrer un visage lumineux.
Sur la pelouse d’avril.
Les tulipes succèdent aux jonquilles.
Passage de relais en famille.
Car toutes les fleurs sont sœurs ;
Quand elles manifestent du bonheur.
Il y a toujours des fleurs ;
Pour clamer les regrets, la nostalgie, l’amour, la joie, les passions.
Des roses de noël aux asters et chrysanthèmes.
C’est la longue farandole,
Des pétales et des coroles.
Hautes sur leurs tiges,
Que le vent fustige,
Ou au ras du sol.
Afin d’occuper l’espace
Par leur charme et leur grâce.
Elles prolifèrent et prospèrent.
Sans que ni le vent, ni la pluie ne les altère.
Des papillons jaunes ou blanc,
Précurseurs du printemps.
Se posent délicatement à tire d’ailes.
Afin de leur confier des nouvelles,
Sur un ton confidentiel.
Des histoires, des bagatelles,
Des rumeurs comme il en court dans la nature.
Friande de végétale littérature,
Emplie de parfums, de couleurs, de belles peintures
Qui font les tableaux des impressionnistes
Dont Claude Monet est le leader en haut de liste.
C’est la longue farandole,
Des pétales et des coroles.
Hautes sur leurs tiges,
Que le vent fustige,
Ou au ras du sol.
Afin d’occuper l’espace
Par leur charme et leur grâce.
Les taupes, elles, préfèrent les toiles de Soulages chantre du noir qui exècre le printemps.
Raymond 31 03 2020
Le temps que j’écrive ce poème dédié à la nature, les pâquerettes se sont ouvertes, ce sont de grandes dormeuses, très coquettes qui attendent le soleil afin de montrer un visage lumineux.