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Il y a longtemps, c' était hier ...
Ta petite main dans la mienne
Image en noir et blanc, délicat cadre doré
Yeux ouverts le matin sur ton portrait posé
Ne pas oublier tes petits traits ébauchés
Le souvenir brouillé par ces années passées
Ta petite main dans la mienne...
Marqués aux fers rouges dans mon coeur
Tes derniers instants, parti pour un ailleurs
Petit toi allongé près de moi, avec ma douleur
A deux ans, tu n'avais droit qu'au bonheur
Ta petite main ouverte dans la mienne...
Endormi pour toujours, sournoisement happé
Cruelle et injuste maladie, emporté
Mes yeux figés sur les tiens, tes paupières fermées
T'enlever, courir loin du cauchemar éveillé
Ta petite main échappée de la mienne...
Cet aller sans retour, tout seul parti pour l'infini
Toi, mon petit amour, pourquoi me l'a-t-on pris !
Ne pas hurler, ne pas sombrer, larmes enfouies
Douleur secrète, cris sans bruit, mais pourquoi lui
Ta petite main plus jamais dans la mienne...
L'espoir d'une autre vie, paradis espéré
Triste réalité, à quoi bon se leurrer
Bienheureux les croyants par leurs prières aidés
Seul le néant accompagne mon âme brisée
Ta petite main... rien...
Dates anniversaires ou rentrées scolaires
T'imaginer dans un très long parcours scolaire
L'enfant devenu grand, l'adulte imaginaire
Au fil des ans, rien de tout cela, chimère
Ma petite main dans la tienne...
Au détour d'un chemin, un bambin plein d'entrain
Des souvenirs lointains et des rires enfantins
Triste sourire, yeux embués, tendres câlins
Une vie sans ta vie, sans ton lendemain
Le souvenir brouillé...
Par les larmes du passé...
Jamais oublié...
Petits traits ébauchés...
Ta petite main dans la mienne...
Ta petite main dans la mienne
Image en noir et blanc, délicat cadre doré
Yeux ouverts le matin sur ton portrait posé
Ne pas oublier tes petits traits ébauchés
Le souvenir brouillé par ces années passées
Ta petite main dans la mienne...
Marqués aux fers rouges dans mon coeur
Tes derniers instants, parti pour un ailleurs
Petit toi allongé près de moi, avec ma douleur
A deux ans, tu n'avais droit qu'au bonheur
Ta petite main ouverte dans la mienne...
Endormi pour toujours, sournoisement happé
Cruelle et injuste maladie, emporté
Mes yeux figés sur les tiens, tes paupières fermées
T'enlever, courir loin du cauchemar éveillé
Ta petite main échappée de la mienne...
Cet aller sans retour, tout seul parti pour l'infini
Toi, mon petit amour, pourquoi me l'a-t-on pris !
Ne pas hurler, ne pas sombrer, larmes enfouies
Douleur secrète, cris sans bruit, mais pourquoi lui
Ta petite main plus jamais dans la mienne...
L'espoir d'une autre vie, paradis espéré
Triste réalité, à quoi bon se leurrer
Bienheureux les croyants par leurs prières aidés
Seul le néant accompagne mon âme brisée
Ta petite main... rien...
Dates anniversaires ou rentrées scolaires
T'imaginer dans un très long parcours scolaire
L'enfant devenu grand, l'adulte imaginaire
Au fil des ans, rien de tout cela, chimère
Ma petite main dans la tienne...
Au détour d'un chemin, un bambin plein d'entrain
Des souvenirs lointains et des rires enfantins
Triste sourire, yeux embués, tendres câlins
Une vie sans ta vie, sans ton lendemain
Le souvenir brouillé...
Par les larmes du passé...
Jamais oublié...
Petits traits ébauchés...
Ta petite main dans la mienne...
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Merci à toi 
