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Poème Un Avril .

Ravel

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#1


« Un Avril en mille neuf cent quarante quatre »​



Dans une ombre argentée par les rayons de lune​

Aux persiennes croisées, la femme en plein travail​

Souffre du joli mal qui lui offre fortune​

Lumière de sa vie, bienvenue au bercail.​


Par un matin d’azur entre lilas et roses,​

J’ai pointé ma frimousse au bruit lourd du canon.​

La douceur de ta peau m’a dit de jolies choses​

Imprégnées à jamais là sur mon cœur mignon.​


Dans la rue pas très loin, claque le bruit des bottes​

De l’ennemi casqué, homme que l’on proscrit.​

Malgré les lourds tourments et les longues capotes,​

Une enfant vit le jour, pleure et puis te sourit.​


Maman Ô ma lumière au creux de ton corps tendre​

A tâtons j’ai trouvé ton sein rose opulent.​

Qu’importe si dehors le ciel ne peut entendre​

La romance nouvelle d’un bébé gazouillant.​


Vécu le « 26 Avril 1944 »​

Margénye​

Avril 2017. (1er prix d’honneur Auriol)​
 
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#2


« Un Avril en mille neuf cent quarante quatre »​



Dans une ombre argentée par les rayons de lune​

Aux persiennes croisées, la femme en plein travail​

Souffre du joli mal qui lui offre fortune​

Lumière de sa vie, bienvenue au bercail.​


Par un matin d’azur entre lilas et roses,​

J’ai pointé ma frimousse au bruit lourd du canon.​

La douceur de ta peau m’a dit de jolies choses​

Imprégnées à jamais là sur mon cœur mignon.​


Dans la rue pas très loin, claque le bruit des bottes​

De l’ennemi casqué, homme que l’on proscrit.​

Malgré les lourds tourments et les longues capotes,​

Une enfant vit le jour, pleure et puis te sourit.​


Maman Ô ma lumière au creux de ton corps tendre​

A tâtons j’ai trouvé ton sein rose opulent.​

Qu’importe si dehors le ciel ne peut entendre​

La romance nouvelle d’un bébé gazouillant.​


Vécu le « 26 Avril 1944 »​

Margénye​

Avril 2017. (1er prix d’honneur Auriol)​
Wouaaaaaah bravo
Quel plaisir de lecture
Gaby
 

EricB

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#3


« Un Avril en mille neuf cent quarante quatre »​



Dans une ombre argentée par les rayons de lune​

Aux persiennes croisées, la femme en plein travail​

Souffre du joli mal qui lui offre fortune​

Lumière de sa vie, bienvenue au bercail.​


Par un matin d’azur entre lilas et roses,​

J’ai pointé ma frimousse au bruit lourd du canon.​

La douceur de ta peau m’a dit de jolies choses​

Imprégnées à jamais là sur mon cœur mignon.​


Dans la rue pas très loin, claque le bruit des bottes​

De l’ennemi casqué, homme que l’on proscrit.​

Malgré les lourds tourments et les longues capotes,​

Une enfant vit le jour, pleure et puis te sourit.​


Maman Ô ma lumière au creux de ton corps tendre​

A tâtons j’ai trouvé ton sein rose opulent.​

Qu’importe si dehors le ciel ne peut entendre​

La romance nouvelle d’un bébé gazouillant.​


Vécu le « 26 Avril 1944 »​

Margénye​

Avril 2017. (1er prix d’honneur Auriol)​
Un 1er prix largement justifié !😀
Le vécu, l'émotion, tout y est....
 

Ravel

Grand poète
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#4
Comment vous remercier pour vos gentils messages et vos compliments qui me touchent à chaque fois profondément et m'encourage! donc en toute simplicité MERCI à vous tous! Janine
 
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#5


« Un Avril en mille neuf cent quarante quatre »​



Dans une ombre argentée par les rayons de lune​

Aux persiennes croisées, la femme en plein travail​

Souffre du joli mal qui lui offre fortune​

Lumière de sa vie, bienvenue au bercail.​


Par un matin d’azur entre lilas et roses,​

J’ai pointé ma frimousse au bruit lourd du canon.​

La douceur de ta peau m’a dit de jolies choses​

Imprégnées à jamais là sur mon cœur mignon.​


Dans la rue pas très loin, claque le bruit des bottes​

De l’ennemi casqué, homme que l’on proscrit.​

Malgré les lourds tourments et les longues capotes,​

Une enfant vit le jour, pleure et puis te sourit.​


Maman Ô ma lumière au creux de ton corps tendre​

A tâtons j’ai trouvé ton sein rose opulent.​

Qu’importe si dehors le ciel ne peut entendre​

La romance nouvelle d’un bébé gazouillant.​


Vécu le « 26 Avril 1944 »​

Margénye​

Avril 2017. (1er prix d’honneur Auriol)​
En vous lisant je vous souhaite un joyeux anniversaire.
 
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