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Revivre et respirer, planer ou survoler
Dans un vol m'octroyant toute la liberté
Où je m'oxygénais pour la première fois
Sous un vent résurgent sans oracle narquois.
Enfin j'avais les clés de pouvoir tout laisser
Au sein de mon passé pour créer sans tarder
Un avenir plus saint qui est dès à présent
Passé d'une tornade à un souffle apaisant.
Je passais doucement de la mélancolie
Sous mon cœur encaissant toutes les avanies
À un couffin d'espoir sous les yeux d'Apollon
M'irradiant d'une étreinte en ses maintes tisons.
J'avais la sensation de pouvoir continuer
Sans doute et sans effroi mon chemin clarifié
Qui m'emporta céans vers un ciel lumineux
Juste avant de mourir sous ce blizzard houleux.
Les stratus blanchissaient au gré de mon voyage
Me sentant purifié et dénué de ma rage
Que j'avais dû avoir afin de me défendre
Pour ne plus avoir peur à l'oral de pourfendre.
Je culpabilisais dès qu'en un bal macabre
Les mots devaient brûler sous l'œil d'un candélabre
Pour tenter d'évincer mes sombres ennemis
Mais l'envie me manquait et ma force a péri.
Ce n'était que verbal mais j'étais incapable
De résister face à ces eaux inépuisables
D'insultes en tout genre agonisant mes heures
Accroissant sans pitié mes immortels malheurs.
En effet je n'aimais nullement me venger
En encaissant toujours ayant peur de blesser
Alors je m'enfuyais pour ne plus revenir
Afin de m’épargner et ne plus être une ire.
C'est pourquoi constater que je m'apprêtais à
Enfin tenir la joie sous d'amoureux éclats
En ces cieux miroitant d'étoiles de tendresse
J'en restais atterré car tout faisait ma liesse.
J’évoluais sans arrêt mais je ne comprenais
Pourquoi on m’honorait sans aucun intérêt
Mais je ne me souciais du tout à le saisir
Pour profiter à fond de ces nombreux plaisirs.
J’étais émerveillé par ce nouveau climat
D’un horizon teinté d’une aube protectrice
Qui m’invita bien vite à retrouver la foi
Par ce radieux futur qu’il dessinait en moi.
Alors anxieux je m’ose à rentrer dans la danse
Malgré l’appréhension de cette renaissance
L’ayant bien éprouvé et sous un goût amer
Je prie que ce bonheur ne soit plus éphémère.
Oiseau Lyre.
Dans un vol m'octroyant toute la liberté
Où je m'oxygénais pour la première fois
Sous un vent résurgent sans oracle narquois.
Enfin j'avais les clés de pouvoir tout laisser
Au sein de mon passé pour créer sans tarder
Un avenir plus saint qui est dès à présent
Passé d'une tornade à un souffle apaisant.
Je passais doucement de la mélancolie
Sous mon cœur encaissant toutes les avanies
À un couffin d'espoir sous les yeux d'Apollon
M'irradiant d'une étreinte en ses maintes tisons.
J'avais la sensation de pouvoir continuer
Sans doute et sans effroi mon chemin clarifié
Qui m'emporta céans vers un ciel lumineux
Juste avant de mourir sous ce blizzard houleux.
Les stratus blanchissaient au gré de mon voyage
Me sentant purifié et dénué de ma rage
Que j'avais dû avoir afin de me défendre
Pour ne plus avoir peur à l'oral de pourfendre.
Je culpabilisais dès qu'en un bal macabre
Les mots devaient brûler sous l'œil d'un candélabre
Pour tenter d'évincer mes sombres ennemis
Mais l'envie me manquait et ma force a péri.
Ce n'était que verbal mais j'étais incapable
De résister face à ces eaux inépuisables
D'insultes en tout genre agonisant mes heures
Accroissant sans pitié mes immortels malheurs.
En effet je n'aimais nullement me venger
En encaissant toujours ayant peur de blesser
Alors je m'enfuyais pour ne plus revenir
Afin de m’épargner et ne plus être une ire.
C'est pourquoi constater que je m'apprêtais à
Enfin tenir la joie sous d'amoureux éclats
En ces cieux miroitant d'étoiles de tendresse
J'en restais atterré car tout faisait ma liesse.
J’évoluais sans arrêt mais je ne comprenais
Pourquoi on m’honorait sans aucun intérêt
Mais je ne me souciais du tout à le saisir
Pour profiter à fond de ces nombreux plaisirs.
J’étais émerveillé par ce nouveau climat
D’un horizon teinté d’une aube protectrice
Qui m’invita bien vite à retrouver la foi
Par ce radieux futur qu’il dessinait en moi.
Alors anxieux je m’ose à rentrer dans la danse
Malgré l’appréhension de cette renaissance
L’ayant bien éprouvé et sous un goût amer
Je prie que ce bonheur ne soit plus éphémère.
Oiseau Lyre.
