Hors ligne
Le cœur bat
Comme un tambour,
Fluent au souffle
D'un sable sans vie,
Il reste un peu
De cette claire nuit,
Respirer ce qui luit,
Mû de cette rosée,
L'eau caresse son visage,
Après avoir capturé
La lune au fond d'un seau,
Je repars vers la dune,
Petite marche vers l'Autre
Sans que le ciel ne bouge,
Un vague demi-jour
Teint le sable tiède,
Une terre habitée
Par son propre mystère,
Devant ces regards
Plongés dans l'absence.
Naji OKBA.
Comme un tambour,
Fluent au souffle
D'un sable sans vie,
Il reste un peu
De cette claire nuit,
Respirer ce qui luit,
Mû de cette rosée,
L'eau caresse son visage,
Après avoir capturé
La lune au fond d'un seau,
Je repars vers la dune,
Petite marche vers l'Autre
Sans que le ciel ne bouge,
Un vague demi-jour
Teint le sable tiède,
Une terre habitée
Par son propre mystère,
Devant ces regards
Plongés dans l'absence.
Naji OKBA.