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Aussi profond que le regard de l'oiseau blessé.
Pareille au fond noir de l'égard dans l'oisiveté.
Flamme semblable à la plume affable méprisée par le vent.
Femme sans bague à l'allure d'une fable effacée par le temps.
Ses peurs resserrent l'étau de ses nuits blanches.
Son coeur espère l'écho...
Malheur que c'est beau !
À l'heure ou les flots
Effleurent ta peau,
Je fleure tous ces mots
À fleure de peau.
Au lac de l'Eau d'Heure
Nos âmes devinrent soeur.
L'eau retînt l'odeur
Au moins de nos heures.
Au loin le ciel pleure
L'horizon qui meure.
L'oraison demeure
Au fond de son coeur...
Il apprend à dompter la tristesse,
En errant à l'orée de l'ivresse.
Le silence voit s'assourdir son coeur.
L'existence doit engourdir ses heures.
Et pourtant c'est la paix qui l'épaule,
En portant ces années qui désolent.
Malgré qu'il aime au fond sa seule compagnie,
D'un trait il sème haut...
Aussi profond que le regard de l'oiseau blessé.
Pareille au fond noir de l'égard dans l'oisiveté.
Flamme semblable à la plume affable méprisée par le vent.
Femme sans bague à l'allure d'une fable effacée par le temps.
Ses peurs resserrent l'étau de ses nuits blanches.
Son coeur espère l'écho...
Et si l'automne n'était en fait qu'une dame.
Sur sa robe en damier orange et rouge,
Les oiseaux en retard joueraient aux dames.
Ses mouchoirs flottants qui dans le vent bougent,
Seraient les nuages qui foncent quand le vent souffle,
Et la pluie ses larmes grises quand sont coeur souffre...
Te voir dans le reflet de la Loire.
À l'écoute du chant vivant de la Loire.
À la vue du reflet de son miroir.
En sentant la caresse légère du vent.
En humant l'odeur d'herbe d'un automne lent.
Je pense à toi.
Voyant les rayons du soleil crever le ciel,
Guettant les nuages jaloux cacher la...
La connaissance peut être une arme se retournant contre soi,
Dans un milieu où c'est l'ignorance qui impose sa loi.
D'insouciance sont bercés, leurs coeurs salis par l'éphémère.
D'inconscience sont liés les gestes, commis par eux et leurs pairs.
Triste chanson antonnée par les voix de la...
J'ai du coeur sur les mains.
À ma foi futile, ce bûcher rond, montreur d'en bas, si loin des êtres.
À la fois fertile et bûcheron, mon coeur abat si bien des hetres.
Ses battements rythment le martèlement de mes poings et celui de mes songes.
C'est bêtement, l'hymne dû mortellement à l'appoint...
Bonjour, je suis LeMagnifique, bien qu'un peu vaniteux, mon nom ne reflète en aucun cas mon état d'esprit, si ce n'est sur certains points, que je pense, vous décèlerez assez rapidement.
Solitaire et pensif, peut être est-ce le fruit de mon passé, j'aime m'adonner à l'écriture de textes...