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2025
Le siècle a vingt cinq ans et l'on aurait pu croire
Qu'il allait enrichir une page d' histoire
Mais les progrès du temps exploités de travers
Engendrèrent des besoins inutiles et pervers.
Car on voulait beaucoup tout en obtenant moins
L'argent devint pour tous l'essentiel besoin.
On aurait pu penser que quelques gestionnaires
Trouveraient l'équilibre apte à tout satisfaire
Mais l'état se croyant à l'excès charitable
Et voulant plastronner plus qu'il n'est raisonnable.
De dépenses excessives et d'aides onéreuses
Fit dans l'or national des failles désastreuses.
Et comme c'est la coutume en telles occasions
Les différents partis se crêpèrent le chignon.
La détestocratie devint fait quotidien
De la démocratie nul ne restait gardien.
Et crieurs de sottises quelques notables sots
Avides de pouvoir occupaient les micros.
La clé mathématique eut même l'outrecuidance
De dire qu'un déficit déshonorait la France
Car des préteurs heureux d'en tirer bénéfice
Poussait la nation aux couteux sacrifices.
Il eut fallu bien sûr un état décideur
Qui ne s'encombre pas de partis sans valeur.
Sans révolutionnaires dépourvus de cervelle
Qui prêchent dans la rue d'inutiles querelles.
Bref il vint un moment ou au bord des abimes
Il fallait que la dette ne franchisse plus les cimes
Et donc en limitant d'inutiles partages
Descendre l'excessif vers un équilibrage.
Mais il fallait alors dire la vérité
Sur l'inégalité et l'inutilité.
Ce qui évidemment compliquait l'objectif
Les élus du moment demeurant excessifs.
Et pendant ce temps là l'élu de référence
Faisait son numéro en dehors de la France
Donc même en admettant une chambre dissoute
Rien ne garantissait de trouver bonne route.
Un provisoire pouvoir n'étant pas une excuse
Fallait-il revoter pour de nouvelles buses.
Et garder à la tête de notre débandade
Un coq qui de régner se montrait incapable.
Alors il faut prier pour que dans l'avenir
Les sots aux grands sommets ne puissent parvenir
Et que tous les gueulards de diverses natures
Ne nous promettent plus de sottes conjonctures
Il viendra un moment où épris de sagesse
Le peuple doutera des trompeuses promesses
Et retrouvant l'esprit de la nation même
Des excès de tous ordres il fera l'anathème
Recherchant les actifs qui sans délires verbaux
Trouvent des solutions qui guérissent leurs maux
Puis se débarrassant des nullards trop nombreux
Fera de postulants un choix judicieux.
Rayera des ses listes les gueulards parasites
Dont le parasitisme à la fin nous irrite.
Le siècle a vingt cinq ans et l'on aurait pu croire
Qu'il allait enrichir une page d' histoire
Mais les progrès du temps exploités de travers
Engendrèrent des besoins inutiles et pervers.
Car on voulait beaucoup tout en obtenant moins
L'argent devint pour tous l'essentiel besoin.
On aurait pu penser que quelques gestionnaires
Trouveraient l'équilibre apte à tout satisfaire
Mais l'état se croyant à l'excès charitable
Et voulant plastronner plus qu'il n'est raisonnable.
De dépenses excessives et d'aides onéreuses
Fit dans l'or national des failles désastreuses.
Et comme c'est la coutume en telles occasions
Les différents partis se crêpèrent le chignon.
La détestocratie devint fait quotidien
De la démocratie nul ne restait gardien.
Et crieurs de sottises quelques notables sots
Avides de pouvoir occupaient les micros.
La clé mathématique eut même l'outrecuidance
De dire qu'un déficit déshonorait la France
Car des préteurs heureux d'en tirer bénéfice
Poussait la nation aux couteux sacrifices.
Il eut fallu bien sûr un état décideur
Qui ne s'encombre pas de partis sans valeur.
Sans révolutionnaires dépourvus de cervelle
Qui prêchent dans la rue d'inutiles querelles.
Bref il vint un moment ou au bord des abimes
Il fallait que la dette ne franchisse plus les cimes
Et donc en limitant d'inutiles partages
Descendre l'excessif vers un équilibrage.
Mais il fallait alors dire la vérité
Sur l'inégalité et l'inutilité.
Ce qui évidemment compliquait l'objectif
Les élus du moment demeurant excessifs.
Et pendant ce temps là l'élu de référence
Faisait son numéro en dehors de la France
Donc même en admettant une chambre dissoute
Rien ne garantissait de trouver bonne route.
Un provisoire pouvoir n'étant pas une excuse
Fallait-il revoter pour de nouvelles buses.
Et garder à la tête de notre débandade
Un coq qui de régner se montrait incapable.
Alors il faut prier pour que dans l'avenir
Les sots aux grands sommets ne puissent parvenir
Et que tous les gueulards de diverses natures
Ne nous promettent plus de sottes conjonctures
Il viendra un moment où épris de sagesse
Le peuple doutera des trompeuses promesses
Et retrouvant l'esprit de la nation même
Des excès de tous ordres il fera l'anathème
Recherchant les actifs qui sans délires verbaux
Trouvent des solutions qui guérissent leurs maux
Puis se débarrassant des nullards trop nombreux
Fera de postulants un choix judicieux.
Rayera des ses listes les gueulards parasites
Dont le parasitisme à la fin nous irrite.