Hors ligne
Là, au lever du jour, je le vois apparaitre
Un rayon de soleil sur lui s'est déposé
En ce matin plus frais l'automne vient de naitre
Couleurs pourpre et ocre, succédant à l'été
C'est à l'orée du bois où danse la bruyère,
Sous chêne robuste, pousse cèpe bronzé
Le coprin chevelu plus loin dans la clairière
Arbore un haut chapeau d'un blanc immaculé
L' arbre se dénude, au sol la feuille morte
Tapisse les chemins, qui craquent sous nos pieds.
Les étourneaux frileux formant une cohorte
A l'abri d'un dortoir se sont réfugiés
On Tronçonne le bois que l'on remise au sec
On ramasse les noix à l'arrivée d'Octobre
Après un bon labeur, une tasse d'andrec
Le jour alors s'éteint pour une nuit bien sobre.
Voici venu le temps de l'arrière saison
Sous un ciel bien morose à l'accent monotone
Et trotte en ma tête, cette vieille chanson
Sur un air d'autrefois qui honore l'automne
Un rayon de soleil sur lui s'est déposé
En ce matin plus frais l'automne vient de naitre
Couleurs pourpre et ocre, succédant à l'été
C'est à l'orée du bois où danse la bruyère,
Sous chêne robuste, pousse cèpe bronzé
Le coprin chevelu plus loin dans la clairière
Arbore un haut chapeau d'un blanc immaculé
L' arbre se dénude, au sol la feuille morte
Tapisse les chemins, qui craquent sous nos pieds.
Les étourneaux frileux formant une cohorte
A l'abri d'un dortoir se sont réfugiés
On Tronçonne le bois que l'on remise au sec
On ramasse les noix à l'arrivée d'Octobre
Après un bon labeur, une tasse d'andrec
Le jour alors s'éteint pour une nuit bien sobre.
Voici venu le temps de l'arrière saison
Sous un ciel bien morose à l'accent monotone
Et trotte en ma tête, cette vieille chanson
Sur un air d'autrefois qui honore l'automne