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🕯️En mémoire du 25 mai 2009🕯️
Il est un vide que rien n’efface
Un silence qui parle encore de toi
Depuis ce jour où le ciel t’a prise
Le temps avance, mais moi, je te revois
Je te revois dans la lumière douce
Qui glisse au matin sur le rebord du lit
Dans une phrase simple, une mousse
De savon, ou dans un chant qui me suit.
Ton absence est une présence discrète
Un souffle chaud dans mes souvenirs
Une main invisible qui m’arrête
Quand la douleur voudrait revenir.
Tu étais cette force faite tendresse
Cette patience aux gestes mesurés
Tu étais l’abri, le cœur, l’ivresse
D’un amour qu’on ne peut nommer.
Même si les années nous éloignent
Du dernier regard, du dernier baiser
Rien ne pourra, ô maman, éteindre
Ce lien d’âme, ce fil sacré.
Chaque 25 mai a le goût du manque
Mais il a aussi ta douce lumière
Dans le jardin de mes silences
Fleurit encore ton amour
de mère.
Fouzia
Il est un vide que rien n’efface
Un silence qui parle encore de toi
Depuis ce jour où le ciel t’a prise
Le temps avance, mais moi, je te revois
Je te revois dans la lumière douce
Qui glisse au matin sur le rebord du lit
Dans une phrase simple, une mousse
De savon, ou dans un chant qui me suit.
Ton absence est une présence discrète
Un souffle chaud dans mes souvenirs
Une main invisible qui m’arrête
Quand la douleur voudrait revenir.
Tu étais cette force faite tendresse
Cette patience aux gestes mesurés
Tu étais l’abri, le cœur, l’ivresse
D’un amour qu’on ne peut nommer.
Même si les années nous éloignent
Du dernier regard, du dernier baiser
Rien ne pourra, ô maman, éteindre
Ce lien d’âme, ce fil sacré.
Chaque 25 mai a le goût du manque
Mais il a aussi ta douce lumière
Dans le jardin de mes silences
Fleurit encore ton amour
de mère.
Fouzia