- Inscrit
- 27 Septembre 2018
- Messages
- 10,151
- J'aime
- 15,781
- Points
- 183
- Je suis
- Un homme
Hors ligne
écho à : << EN DEUIL DE NOTRE HISTOIRE >> de Chessmec
A MON DÉSAMOUR
Après deux ans passé à composer pour toi,
De lyriques sonnets d'un amour empirique,
N'ayant pu t'embrasser qu'en de trop rare fois,
Ni te pelotonner d' façon systématique,
J'ai donc abandonné, à mon grand désarroi,
Le maniement des mots, plutôt dithyrambique,
Et puis j'ai pris congé de l'amour aux abois,
Auquel tu m'as damné de façon algébrique...
J'ai cessé d'écrire n'y trouvant plus le goût,
Et n'ai su décrire l'état de mon dégoût,
Dans lequel je sombrais inexorablement.
J'ai vainement tenté de reprendre avec toi,
Là où s'est arrêté notre amour de guingois,
Qui n'en finissait plus en agonisement.
10 août 2019
AGONISEMENT, subst. masc.
A. - "Action d'exercer, d'entraîner son corps, en particulier pour le rendre habile aux faits d'armes ; p. méton., exercice, en particulier lutte, combat singulier"
B. - "Lutte contre la mort, fait d'être à l'agonie, de vivre le moment, les souffrances précédant la mort"
Synthèse
Martine Moulin
A MON DÉSAMOUR
Après deux ans passé à composer pour toi,
De lyriques sonnets d'un amour empirique,
N'ayant pu t'embrasser qu'en de trop rare fois,
Ni te pelotonner d' façon systématique,
J'ai donc abandonné, à mon grand désarroi,
Le maniement des mots, plutôt dithyrambique,
Et puis j'ai pris congé de l'amour aux abois,
Auquel tu m'as damné de façon algébrique...
J'ai cessé d'écrire n'y trouvant plus le goût,
Et n'ai su décrire l'état de mon dégoût,
Dans lequel je sombrais inexorablement.
J'ai vainement tenté de reprendre avec toi,
Là où s'est arrêté notre amour de guingois,
Qui n'en finissait plus en agonisement.
10 août 2019
AGONISEMENT, subst. masc.
A. - "Action d'exercer, d'entraîner son corps, en particulier pour le rendre habile aux faits d'armes ; p. méton., exercice, en particulier lutte, combat singulier"
B. - "Lutte contre la mort, fait d'être à l'agonie, de vivre le moment, les souffrances précédant la mort"
Synthèse
Martine Moulin