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À une poétesse qu’une tristesse hante
J’ai aimé votre forme j’ai aimé votre fond
La rigueur de vos vers leur donne de la grâce
Mais la mélancolie ombre d’une menace
Le poème sonnant d’une exquise façon.
Fuyez un soudain spleen devenant trop profond
Ne vous enfermez pas en triste carapace
Le cœur aux temps étroits redonne de l’espace
De vos nuages il faut dépasser le plafond
Faut-il désespérer lorsque l’on est en bas
Par simple lassitude éviter le combat
En croyant que le mal est toujours invincible
Pensez aux délicats et poétiques liens
Qui invisiblement vous donnent leur soutien
Et aux vents excessifs devenez insensible.
J’ai aimé votre forme j’ai aimé votre fond
La rigueur de vos vers leur donne de la grâce
Mais la mélancolie ombre d’une menace
Le poème sonnant d’une exquise façon.
Fuyez un soudain spleen devenant trop profond
Ne vous enfermez pas en triste carapace
Le cœur aux temps étroits redonne de l’espace
De vos nuages il faut dépasser le plafond
Faut-il désespérer lorsque l’on est en bas
Par simple lassitude éviter le combat
En croyant que le mal est toujours invincible
Pensez aux délicats et poétiques liens
Qui invisiblement vous donnent leur soutien
Et aux vents excessifs devenez insensible.