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Ah ! Le petit vote blanc !
Il vient un moment
où des prétendants
Nous font des avances
Marianne tes enfants
Iront en votant
Choisir la prudence.
Vous verrez les files
Aux urnes des villes
Se montrer dociles
Et quelques votants
Leurs idées en tête
De fête ou défaite
Se diront c’est chouette
Je vais voter blanc
Ah, le petit vote blanc
Pour pouvoir qui chancelle
Quand la vie est cruelle
Pour beaucoup trop de gens.
Et puis de temps de temps
On se rappelle l’existence
Où l’on avait plus de chance
De voter sans fauter
Pour des gens qualifiés
Ayant quelque talent.
Suivant le scrutin
Qui est incertain
Les élus s’affairent
À suivre un chemin
Vers des lendemains
Qui ne sont pas clairs
Venez électeurs
Croire à ces menteurs
Vendeurs de bonheur
L’impôt vous attend
Le fisc à la fête
Va refaire la quête
Comblant une dette
Qui va grandissant.
Ah, le petit vote blanc
pour pouvoir qui chancelle
Quand la vie est cruelle
Pour beaucoup trop de gens
Et puis de temps de temps
on se rappelle l’existence
où l’on avait plus de chance
De voter sans fauter
pour des gens qualifiés
ayant quelque talent.
Aux jeux décevants
Le peuple souvent
Perd tout avantage
Il n’est pas méchant
Mais en d’autres temps
Il fit des carnages
Car le prolétaire
Devenant amer
Se met en colère
Et se révoltant
Refuse les contes
Que disent sans honte
Les fauteurs de comptes
Élus malfaisants
Ah, le petit vote blanc
pour pouvoir qui chancelle
Quand la vie est cruelle
Pour beaucoup trop de gens
Et puis de temps de temps
on se rappelle l’existence
où l’on avait plus de chance
De voter sans fauter
pour des gens qualifiés
ayant quelque talent.
C’est toujours pareil
Sous notre soleil
Les incompétents
Promettent en mentant
De savoir compter
Pour ne pas fauter
Mais l’on voit après
Combien l’on nous ment.
Il vient un moment
où des prétendants
Nous font des avances
Marianne tes enfants
Iront en votant
Choisir la prudence.
Vous verrez les files
Aux urnes des villes
Se montrer dociles
Et quelques votants
Leurs idées en tête
De fête ou défaite
Se diront c’est chouette
Je vais voter blanc
Ah, le petit vote blanc
Pour pouvoir qui chancelle
Quand la vie est cruelle
Pour beaucoup trop de gens.
Et puis de temps de temps
On se rappelle l’existence
Où l’on avait plus de chance
De voter sans fauter
Pour des gens qualifiés
Ayant quelque talent.
Suivant le scrutin
Qui est incertain
Les élus s’affairent
À suivre un chemin
Vers des lendemains
Qui ne sont pas clairs
Venez électeurs
Croire à ces menteurs
Vendeurs de bonheur
L’impôt vous attend
Le fisc à la fête
Va refaire la quête
Comblant une dette
Qui va grandissant.
Ah, le petit vote blanc
pour pouvoir qui chancelle
Quand la vie est cruelle
Pour beaucoup trop de gens
Et puis de temps de temps
on se rappelle l’existence
où l’on avait plus de chance
De voter sans fauter
pour des gens qualifiés
ayant quelque talent.
Aux jeux décevants
Le peuple souvent
Perd tout avantage
Il n’est pas méchant
Mais en d’autres temps
Il fit des carnages
Car le prolétaire
Devenant amer
Se met en colère
Et se révoltant
Refuse les contes
Que disent sans honte
Les fauteurs de comptes
Élus malfaisants
Ah, le petit vote blanc
pour pouvoir qui chancelle
Quand la vie est cruelle
Pour beaucoup trop de gens
Et puis de temps de temps
on se rappelle l’existence
où l’on avait plus de chance
De voter sans fauter
pour des gens qualifiés
ayant quelque talent.
C’est toujours pareil
Sous notre soleil
Les incompétents
Promettent en mentant
De savoir compter
Pour ne pas fauter
Mais l’on voit après
Combien l’on nous ment.
