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Ah! Madame Marianne où c’est-y qu’on en est?
Macron ne vint pas là par le fait du hasard
D’étranges circonstances ,là où il est, le mirent
N’ayant pas le meilleur on récolta le pire
On ne sait où l’on va en se trompant de gare.
L’impression première à tous parut bizarre
Il imposa ses vues comme un meneur d’empire
Et l’insuccès venant on en vint à médire
De ce faible compteur dont la gestion s’égare
Ne pouvant obtenir ce que le peuple espère
II se mit à jongler avec ses ministères
Aux efficaces choix ne pouvant parvenir
Le trésor de l’état eut un sombre avenir
L’énorme déficit fit le pays austère
Et d’excès de partis la France dut pourrir.
On découvrit bien vite que la bordelitude
Est un climat plaisant pour créer les malheurs
Des partis trop nombreux naquirent par erreur
À gérer aucun d’eux n’avaient bonne aptitude
Tous ne s’astreignant pas aux logiques études
Baratinaient le peuple au bord de la fureur
Qui devint appauvri des fruits de son labeur
Et la démocratie devint décrépitude.
Sans doute eut-il fallu un surcroît de savoir
À ces gueulards élus issus des isoloirs
Mais la publicité faisant fort bien les choses
Mentant aux électeurs venait vendre des roses
Et le peuple lassé de fallacieux espoirs
D’ un merdier politique connut l’apothéose.
Et comme Guillotin il faudrait qu’on la coupe
Cette sotte tendance à croire trop de meneurs
La logique d’élu est source de malheurs
Si l’on ne peut passer les comptes sous la loupe.
Trop de politiciens constituent une troupe
Parasitant l’état sans la moindre pudeur
Leurs coûts leur déficit sont cause de frayeur
Et promesse du plein laisse vide la coupe.
Il ne faudrait élire que provisoirement
Les rouages incertains de nos gouvernements
Les essais préalables semblent bien nécessaires
Punir d’éjection les marchands de salades
Serait une mesure des plus utilitaires
Il faudra bien un jour sortir de la panade!
Macron ne vint pas là par le fait du hasard
D’étranges circonstances ,là où il est, le mirent
N’ayant pas le meilleur on récolta le pire
On ne sait où l’on va en se trompant de gare.
L’impression première à tous parut bizarre
Il imposa ses vues comme un meneur d’empire
Et l’insuccès venant on en vint à médire
De ce faible compteur dont la gestion s’égare
Ne pouvant obtenir ce que le peuple espère
II se mit à jongler avec ses ministères
Aux efficaces choix ne pouvant parvenir
Le trésor de l’état eut un sombre avenir
L’énorme déficit fit le pays austère
Et d’excès de partis la France dut pourrir.
On découvrit bien vite que la bordelitude
Est un climat plaisant pour créer les malheurs
Des partis trop nombreux naquirent par erreur
À gérer aucun d’eux n’avaient bonne aptitude
Tous ne s’astreignant pas aux logiques études
Baratinaient le peuple au bord de la fureur
Qui devint appauvri des fruits de son labeur
Et la démocratie devint décrépitude.
Sans doute eut-il fallu un surcroît de savoir
À ces gueulards élus issus des isoloirs
Mais la publicité faisant fort bien les choses
Mentant aux électeurs venait vendre des roses
Et le peuple lassé de fallacieux espoirs
D’ un merdier politique connut l’apothéose.
Et comme Guillotin il faudrait qu’on la coupe
Cette sotte tendance à croire trop de meneurs
La logique d’élu est source de malheurs
Si l’on ne peut passer les comptes sous la loupe.
Trop de politiciens constituent une troupe
Parasitant l’état sans la moindre pudeur
Leurs coûts leur déficit sont cause de frayeur
Et promesse du plein laisse vide la coupe.
Il ne faudrait élire que provisoirement
Les rouages incertains de nos gouvernements
Les essais préalables semblent bien nécessaires
Punir d’éjection les marchands de salades
Serait une mesure des plus utilitaires
Il faudra bien un jour sortir de la panade!